Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !
Datte: 04/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... Philippe seraient les endroits où j’allais à nouveau me livrer à la débauche. Fabienne s’adressa alors à moi. Elle ouvrit les derniers boutons de mon chemisier. • Enlève ta jupe et ton string, m’ordonne-t-elle. Je ne me le fais pas dire deux fois. Fabienne se penche pour prendre mon téton droit dans sa bouche et titille l’autre en le pinçant entre ses doigts fins et froids. Je cris de plaisir. A son tour, elle retire sa robe, puis son string. Je vois son corps nu. Il est parfait. • Montre-moi que tu me désires vraiment, et fais-moi jouir, me dit-elle avec un ton impatient. Je m’agenouille devant elle et observe son sexe de plus près. Epilé à la perfection, il ressemble à un mignon petit abricot mur et près à être dégusté. J’écarte les lèvres avec deux de mes doigts et hume le parfum délicat de ce con déjà dégoulinant. Sentant qu’elle s’impatiente et qu’elle veut jouir, je commence à lécher le contour des lèvres, pour qu’elle me désire davantage. • Oh, Olga, je t’en prie ! Enfonce ta langue ! • Sois patiente ma belle, ça va venir, je lui réponds avec un sourire de satisfaction. • Ça fait si longtemps que j’attends ça ! Et maintenant, lèche-moi. Fais de moi ta petite chienne préférée ! Je me remets à lécher ses contours, en évitant soigneusement de toucher son clitoris et en passant juste à côté. Frustrée au plus haut point, elle attrape mes cheveux et colle ma bouche à son bouton déjà tout dur. Répondant enfin à sa demande, je l’aspire longuement tout en le caressant du bout ...
... de ma langue. Elle crie de plaisir. Les trois autres et Philippe observent, fascinés par l’intensité de la scène. Elles sont assises sur les fauteuils. Elles attendent leur tour. Jacqueline interpelle les jeunes femmes : • Alors les filles, ça vous fait envie ? • C’est beau, dit Christel. Je suis mouillée. • Moi aussi, je suis impatiente d’essayer, dit Céline. Et en plus avec l’épouse de mon chef Je glisse mes mains le long du ventre de mon amante jusqu’à ses seins et en en titille les pointes. Je lèche longuement ce petit clitoris qui m’avait attendu si longtemps. Sentant qu’elle est prête, j’introduis un doigt dans son vagin, puis deux, et trois, sans cesser d’aspirer, de lécher, de mordiller son bouton. • Mets-y toute ta main, possède-moi toute entière ! me prie-t-elle. • Fiste-la, chérie, mets lui tout, jusque l’avant-bras. Fais la gueuler de plaisir, m’encourage Philippe. J’enfonce un quatrième doigt, pour l’habituer, puis ma main entière la pénètre. A mon grand étonnement, elle entre facilement et en entier, jusqu’au poignet. Sentir son sexe couvrir ma main toute entière me procure une grande joie. Je commence à bouger à l’intérieur d’elle, ce qui provoque en elle de grand frisson de plaisir. • Mmh… Oh ouiii ! Plus fort, Olga ! Plus vite !!! Baise-moi ! Possède-moi ! J’obéis, allant et venant en elle. Quand je ressors, dix minutes plus tard, après qu’elle ait joui, il y a un gros trou d’où s’écoule un liquide blanchâtre que je bois avec gourmandise. Je me dirige vers ...