1. Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...


    Datte: 02/08/2017, Catégories: fhh, 2couples, fhhh, couplus, cocus, vacances, forêt, Transexuels entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo, échange, exercice,

    ... juillet, a coïncidé avec le début de nos vacances. Enfin seuls. Malheureusement, Alexis est partie avant nous et il faudra attendre septembre pour des retrouvailles. Enfin, si elle est toujours libre. Le premier août, nous retrouvons ce camping gigantesque, véritable ville dans les Landes. C’est très grand, mais bien structuré. Par exemple, un quartier est réservé aux couples sans enfants. Notre bungalow est dans cette zone. Les cris de marmots, ma femme connaît toute l’année ; et même si elle les adore, les vacances c’est fait pour changer. C’est la deuxième année que nous venons. Les cris d’enfants sont remplacés par des discussions autour des barbecues et même des bruits qui s’échappent des autres bungalows, tard dans la nuit ou pendant la sieste. Mais ici c’est différent. Ce ne sont pas des parents qui baisent et se laissent aller. Ce sont des voisins que l’on croise le lendemain avec des petits sourires aux lèvres si les cris se sont propagés, déclenchant des échos dans les chambres des voisins. C’est sympa, super, mais reste sage. Anne adore l’eau. Elle nage comme un poisson et peut passer des heures à aligner des longueurs pendant que je me prélasse dans un transat à la regarder. La regarder bien sûr, mais aussi les autres. C’est aussi fait pour ça, les vacances. C’est en plein cagnard que la piscine est la moins occupée. Aussi, à l’ombre, un verre et un journal à la main, je regarde mon épouse nager sans que des gamins ou des « emmerdeurs » bloquent sa ligne. Je ...
    ... somnole, accablé par la chaleur et aussi le rosé de midi. Elle nage. Elle nage. Ah ! Elle fait une pause, allongée mais retenue par les mains au bord du bassin. Un jeune con plonge et s’approche d’elle. Je pense qu’il s’excuse de l’avoir aspergée. Je l’imagine, bien élevée, lui répondre que « ce n’est pas grave, que la piscine est à tout le monde, qu’il fait beau, etc. » Ils bavardent. Un moment. Longtemps. Je vois même qu’elle montre du doigt dans ma direction. Allongé, les lunettes de soleil rivées sur les yeux, je dois donner le spectacle du mari qui somnole. De quoi peuvent-ils bien parler ? Quelle conversation peut durer si longtemps entre ma femme, la quarantaine, et ce garçon qui doit avoir 25 ans à tout casser ? Enfin il sort du bassin. Il passe devant moi qui fais semblant de dormir, un sourire aux lèvres que je n’apprécie pas.« Jeune con, tu te crois plus malin parce que tu es jeune ! » Anne reprend ses longueurs mais ne s’attarde pas. Elle vient s’allonger. Je continue de faire semblant de dormir. C’est seulement au bout de quelques minutes que je fais mine de me réveiller. — Alors, on pourrait m’enlever que tu ne le verrais même pas ! dit Anne en secouant ses cheveux humides sur mon ventre.— Pourquoi, il y a des fous pour cela ? je lui réponds du tac au tac.— Goujat. Tu es un goujat. Elle me donne de petites claques amicales. Je l’attrape dans mes bras et la câline un peu. — Ma chérie ? Que ferais-je sans toi… Alors raconte. Qu’est ce qui se passe ?— Je me suis fait ...
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