Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fhh,
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... cocktails et au repas arrosé. Vous savez combien je compte sur CH3-CH2-OH pour désinhiber Anne, et je pense avoir bien fait mon devoir lorsque, de retour au bungalow, je la surprends à faire une toilette intime et un grand ménage que la présence de ses parents et une sexualité de rentier rendaient nécessaires. Elle est magnifique, lumineuse dans cette robe blanche que la lumière teintée d’UV rend remarquable. Elle est prête. Moi aussi bien sûr, impatient de voir comment cela va se passer. Déjà nous remarquons que le gars attend au bar, certain de son succès ? Le fou ! Que connaît-il aux femmes ? Aux vraies, celles qui ont de l’expérience. Déjà je m’inquiète et pense que si ce jeune insolent n’est pas à la hauteur, il va me tuer dans l’œuf une amoureuse que je destine à de nombreuses expériences. Mais c’est Anne qui s’arrête.« Merde, elle a peur et va reculer ! » Le gars ne nous a pas encore remarqués. Elle m’entraîne à l’écart. — Écoute-moi. D’accord, je vais t’écouter et faire ce que tu demandes. Mais c’est à ma façon. Je veux que tu me laisses faire. C’est moi qui décide. C’est moi qui organise. D’accord ? Que répondre, alors qu’elle va tout à fait dans mon sens ? — Oui. Comme tu veux.— Alors, voilà ce que nous allons faire. Je veux que tu fasses exactement… Je suis sur le cul. Anne m’énumère tout son programme avec des détails et une précision qu’elle ne peut pas avoir imaginés en quelques minutes. Je n’aurais pas fait mieux. Et cette idée du somnifère ! Géant, grandiose, ...
... digne d’une Régine Deforges, auteur en avance sur son temps. Le gars est tout étonné de voir Anne accompagnée, mais il reste prudent. Si elle est venue, il doit bien y avoir une raison. Nous bavardons. Je leur propose de danser. Il n’est pas nécessaire de danser le slow pour que la sensualité transpire. Assis au bar, un verre à la main, je regarde de loin, jouant le rôle que ma femme m’a attribué. De temps en temps ils reviennent, en sueur, de plus en plus complices. Lui, Damien, surtout se laisse aller à des gestes familiers, sentant que ce mari est déjà bien alcoolisé et somnolent. Arrive une série de slow. L’évidence est là. Le gars sent bien qu’Anne se laisse faire, indifférente à son mari toujours assis au bar. Mais il hésite. Il voudrait l’entraîner et lui montrer ce qui fait une bosse entre ses jambes, cette bosse qu’elle ne refuse pas contre son ventre. Ils reviennent pour une pause. — Chérie, je vais rentrer, dis-je, la voix avinée. Je continue : — Mais reste si tu veux, profite de ce gentil cavalier. Et, prenant Damien à témoin : — Jeune homme, je compte sur vous pour la raccompagner au bungalow. À cette heure, il ne faudrait pas qu’elle fasse une mauvaise rencontre. Il est sidéré. La voie lui est ouverte. Et ce mari qui lui laisse sa femme en garde ! — Comptez sur moi ! répond Damien, tout heureux du tour que prend cette soirée. Je les quitte, non sans avoir embrassé ma femme d’un léger baiser sur les lèvres. Je marche d’un pas peu assuré, riant sous cape, jouant ...