1. Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...


    Datte: 02/08/2017, Catégories: fhh, 2couples, fhhh, couplus, cocus, vacances, forêt, Transexuels entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo, échange, exercice,

    ... lui dis dans l’oreille : — Regarde : je bande. Viens, allons faire une petite sieste crapuleuse… C’est le plus beau des sourires de ces lèvres, que je vois déjà emboucher ma verge, qui m’accompagne alors que je me lève, cachant cette érection derrière ma serviette de bain. Quelques minutes plus tard, ma conviction est faite : ce jeune gars n’a pas seulement déclenché de la fierté chez ma femme, car la liqueur que son con transpire n’est pas de l’eau de piscine, mais une bien agréable humidité que seuls l’envie et le plaisir sécrètent. Je comprends qu’Anne me rejoigne dans mes fantasmes et suis le plus heureux des hommes. Mais déjà je calcule, j’imagine, j’organise la suite. On ne se refait pas. Je suis un cérébral, et pour moi le sexe est autant dans l’acte que dans la préparation. Par exemple, alors que j’aurais envie de la prendre encore et encore, usant de son corps et de ses orifices, je me retiens dans un sacrifice qui est proche de l’investissement. Pourquoi ? Mais réfléchissez un peu… Anne a rendez-vous ce soir. Elle ne le sait pas encore, le souhaite peut-être, mais moi je sais que nous serons à minuit au bar de la boîte. Et je la veux réceptive aux futures avances de ce garçon. Si je l’épuise tout l’après-midi par des jeux amoureux, la rencontre pourrait tourner au fiasco. Ne rigolez pas. Ne vous moquez pas de moi. Je n’ai pas la prétention d’être un amant hors du commun, mais je connais Anne et, comme tout le monde, elle sature au bout d’un moment. Il n’y a que ...
    ... les nymphos ou dans les films X que la femme est toujours demandeuse. Donc. Une fois et c’est tout. Je la bourre longtemps, éjacule dans sa chatte puis l’abandonne sous un prétexte quelconque. Je me punis moi-même mais, comme je le disais, cette privation est un investissement pour ce soir. Ensuite je l’entraîne en ville où je lui propose d’acheter une robe dans une de ces boutiques qui proposent du lin d’une blancheur éclatante. Longuement elle hésite. Toutes sont de parfaites parures d’été, légères et aériennes. Rien de vulgaire ou d’outrageusement décolleté. À peine transparentes, mais c’est l’été et les femmes se permettent des fantaisies que le soleil et la plage suggèrent. Je fais juste une plaisanterie devant la succession de boutons qui ponctuent la robe de haut en bas. — Je ne sais pas si notre jeune ami va avoir la patience de tout défaire. Anne me regarde, mais ce n’est rien de la jeune et pulpeuse vendeuse, bronzée à faire pâlir un habitant du Sénégal, publicité vivante avec sa jupe et son chemisier d’un blanc immaculé. — On peut détacher quelques boutons pour donner plus de légèreté, dit la coquine de gamine, qui défait deux boutons en haut et deux boutons en bas, permettant à la robe de devenir plus affriolante. Nous la prenons, bien sûr, et en mon for intérieur je me propose de revenir pour vérifier si la reine du bouton n’en a pas un, plus discret, plus personnel, qui pourrait être exploré. Le reste de l’après midi et de la soirée sont consacrés au soleil, aux ...
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