Tempête de neige
Datte: 07/10/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
Collègues / Travail
Oral
préservati,
confession,
occasion,
... j’avais libéré la chatte et placé, comme l’homme, mon gland contre l’anus. Pour un peu, j’oubliais mes principes et j’allais enculer ma maîtresse. Heureusement elle a senti combien j’étais parti pour le faire. Je reviens à mon premier amour. L’homme a juté dans sa femme bien avant moi. Lui a l’excuse d’avoir été spectateur pendant de longues minutes du trio de sa femme avec deux amants. Moi, je m’adapte aux signes de plaisir d’Anaïs. Je lui dois bien de la faire jouir. La première jouissance arrive alors que je la vois glisser une main sous elle pour se caresser le petit bouton. Mais la seconde est longue à monter. Mais c’est encore meilleur pour elle. Je ne pense pas qu’elle simule son plaisir. Alors, seulement, j’éjacule. Je suis bien d’accord avec le mari, quel dommage de ne pas pouvoir inonder sa maîtresse de l’intérieur. Un peu plus tard, nous avons refait l’amour. Mais cette fois-ci, c’est Anaïs qui a mené la danse et qui s’est prise sur moi. Le lendemain matin, au réveil, alors que nous étions tous les deux dans le même duvet, je l’ai prise. Doucement, tranquillement, moi lové contre son dos, mon sexe au chaud, à la cuillère comme on dit. Avant l’arrivée des autres, on a pris bien soin de tout ranger, le PC en particulier. On était à la fois heureux, mais aussi on se sentait coupable. Oh, pas coupable de notre aventure, mais d’avoir violé la vie privée de notre formatrice. Mais après tout c’était grâce à elle qu’Anaïs allait rentrer chez elle avec des souvenirs. Le ...
... week-end suivant, je suis tout étonné de recevoir un mail d’elle. Sans vraiment en parler, il était évident que chacun garderait le secret de notre aventure. Ce message a déclenché chez moi un sourire accompagné d’une remarque non réfléchie « Sacrée Anaïs » et Valériane qui lit à côté de moi s’en étonne. — Qui est-ce ? Qu’est-ce qui est si drôle. C’est qui cette Anaïs. Je la connais ? Je sais que ma femme n’est pas jalouse, et que jamais elle ne s’est permis de me questionner sur mon travail. Non, c’est juste de la curiosité. — Oh, il vient d’une collègue. Anaïs Z… Elle faisait partie du groupe qui a suivi la formation avec moi.— Ah ! Et pourquoi tu la traites de « Sacrée Anaïs ? »— Tiens, regarde. Et je lui montre le mail qui s’affiche sur ma tablette. Elle lit. Me regarde et me la rend. — Je ne comprends pas un mot. Binaire, base deux. C’est de l’hébreu pour moi. Explique-moi ce qu’il peut y avoir de drôle là-dedans.— C’est un jeu de mots difficile à expliquer. Il faut avoir suivi le cours et surtout connaître la formatrice pour comprendre.— Ah ! Je sais que je viens de blesser Valériane. Nous vivons dans deux mondes différents. C’est une littéraire de formation alors que je suis plutôt matheux. Il nous arrive de nous embrouiller sur nos façons de voir le monde et en cet instant, le matheux que je suis, vient de lui dire qu’elle est trop « bête » pour comprendre. — Tiens regarde. Je lui montre sur ma tablette, la photo de groupe qui a été faite à la fin du stage. Je continue : ...