La petite robe - Histoires de Sexe

La petite robe

... Tu pensais en rester là mais tu me vis défaire mon pantalon. Tu me dis qu’on ne pouvait pas continuer et je te répondis que tu ne pouvais pas me laisser ainsi et je sortis alors mon sexe raide d’excitation de mon boxer pour te prouver mes dires. Alors, d’un ton doux mais ferme, je te dis « Suce-moi mon amour » et posai ma main sur ton épaule pour t’inviter à t’accroupir face à mon vit dressé. Tu t’exécutas alors, comprenant qu’il n’y aurait pas d’autre issue et en même temps, malgré la peur d’être surprise, ton envie de continuer nos ébats était la plus forte. Tu emboutis mon chibre et commenças à lécher mon gland en enroulant ta langue autour. Tu t’agrippas à ma jambe de ta main gauche et tu me masturbas de ta main droite en engloutissant mon sexe dans ta bouche suave. Je pensais en mon fort intérieur que décidément tu étais vraiment une experte de la pipe. Je t’attrapai les cheveux pour tirer ta tête en arrière, je te roulai alors un patin sauvage et enfiévré, puis je te forçai à reprendre mon sexe dans ta bouche. Mon dieu que c’était bon ! J’en profitai pour m’incliner légèrement et te caresser les seins fermement, ce que tu adorais. Je te demandai également de te caresser le minou de ta main gauche. Tu t’exécutas volontiers pour mon plus grand plaisir. Je savais cependant que ce traitement ne pouvait durer plus longtemps car j’étais sur le point de jouir. Toujours par les cheveux, je te forçai à te relever, je te retournai. Tu pris appui sur le fond de la cabine face à ...

... la glace, je retroussai une nouvelle fois ta robe et positionnai mon sexe à l’entrée de ton vagin. J’entrai l’extrémité de mon gland en toi et ne bougeai plus. Et alors, n’en pouvant plus, c’est toi qui reculas ton bassin pour venir t’empaler sur mon sexe jusqu’à la garde. Tu laissas échapper une grande plainte que tu eus du mal à contenir. Je ressortis entièrement de toi et recommençai l’opération en pénétrant seulement le bout de mon gland et en faisant de tous petits va-et-vient. Tu haletais, tu gémissais et après plusieurs mouvements légers, je m’enfonçai en toi à fond. Puis de nouveau, je ressortis entièrement pour te pénétrer cette fois d’un coup sec jusqu’aux couilles. Je défis le haut de ta robe pour libérer ta poitrine que je pétrissais au rythme de mes coups de boutoir dans ton vagin. Nous étions au comble de l’excitation, tous les deux proches de la jouissance. Je voulais cependant finir en apothéose… J’accélérai la cadence et approchai ma main gauche de tes fesses. Je laissai traîner mon pouce sur ton sillon fessier et je vins titiller ton petit trou. Je sortis alors mon sexe presqu’entièrement du tien et dans un seul et même élan, je pénétrai et ton vagin avec mon sexe et ton œillet avec mon pouce. Tu partis dans une longue plainte de jouissance. Pour ne pas attirer l’attention, je plongeai mon autre pouce dans ta bouche que tu te mis à sucer comme une petite bite. À cet instant précis, tu étais prise par tes trois trous en même temps. Je te le fis remarquer en te ...