1. les Amazones - Épisode 4


    Datte: 08/10/2018, Catégories: fhhh, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo, historique, aventure, historiqu,

    ... du lac sous les acclamations de la foule. La reine s’est couverte d’une cape de plumes qu’on lui tend et repart. L’or dont elle était parée recouvre désormais le fond du lac, ultime offrande faite aux Dieux. Que de trésors doivent y reposer. Une fortune colossale à faire perdre la tête. Cette dernière remarque suscite en moi un petit rire nerveux quand je repense à la collection de crânes qui m’a été montrée. Encore des chants et des ovations. Puis c’est la dispersion. Je remarque qu’à la suite de leur souveraine, elles se hâtent alors de rentrer, se mettant sous la protection de leurs défenses. Les jeunes guerrières sont aux aguets, tournant la tête en tous sens. Il y a visiblement quelque chose de l’autre côté qu’elles redoutent. Quelle menace rôde dans l’obscurité de la sylve ? J’aimerais bien le savoir. Qui – ou quoi – peut bien faire peur à ces redoutables guerrières ? — Allez, viens ! Il est temps. Maureen me prend par le bras et m’entraîne à la suite de son groupe. J’entends des rires. On caquette et on glousse dans mon dos. — Elles ont hâte de te connaître. Effectivement, ces dames me regardent avec un sourire gourmand. Voilà un signe encourageant, gage d’hospitalité. Enfin, je l’espère. Nos pas nous amènent vers une grande case. Comme j’ai pu le constater déjà à maintes reprises, la notion de propriété privée n’existe guère chez ces peuples. C’est le groupe qui prime. Cette demeure est faite pour accueillir une bonne vingtaine de personnes et tout s’organise autour ...
    ... de la vie en collectivité. Et quand je dis tout, c’est bien tout ! À peine ai-je franchi le seuil qu’un petit groupe de femmes s’approche. Elles tournent autour de moi. Une de ces effrontées soulève ma tunique et me l’enlève prestement. Les poils qui couvrent mon corps et surtout mes parties ont l’air de grandement les étonner. Maureen ne s’en offusque guère et ne dit rien. Mes cheveux souples les étonnent aussi, et visiblement, ma tonsure interpelle. Peut-être la prennent-elles pour un signe sacré. Ce qui est le cas d’ailleurs. L’une tâte mes muscles, l’autre désigne en riant ma verge. Pas de doutes, je suis bien destiné à un usage domestique que notre mère l’Église n’a guère prévu pour un individu de mon état. Maureen vient près de moi. — Tu vas être intégré dans notre clan. Prépare-toi. Et avant même que j’aie le temps de ciller des yeux, ces furies se jettent sur moi et me plaquent au sol en riant. Bras et jambes écartés, fermement tenu, je me retrouve lié par les poignets et les chevilles à quatre piquets plantés dans le sol de terre battue de la case. Maureen me regarde. Et je n’aime pas du tout son regard. Il est maintenant dur, froid, sans pitié. C’est celui d’un prédateur. — Elles vont te donner leurs corps, mais, avant, elles veulent savoir si tu le mérites. Il est de coutume de faire subir un rite aux prisonniers que nous avons choisis. C’est l’épreuve d’initiation que nos ennemis imposent à leurs garçons. Nous l’avons adoptée. Sois brave et ne montre rien. Je serai ...
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