Mélanie, étudiante à Bordeaux (34)
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
Trash,
... dégoulinants de cyprine à la petite brune qui les happa et les aspira comme si sa vie en dépendait. — Tu résistes bien ; je vais frapper plus fort. Ne me déçois pas. Il recula et se mit à asséner des coups plus puissants, attentif aux plus infimes réactions d’Anita dont les yeux noyés exprimaient la plus totale dévotion. Lui-même savait qu’il ne pourrait continuer bien longtemps : son sexe en érection durement comprimé dans son pantalon lui faisait un mal de chien tellement il avait envie de le plonger dans les orifices soyeux de sa soumise. Mais il savait qu’il devait prendre son temps et faire connaître à la jeune fille les souffrances qu’il lui avait promises et refusées une semaine plus tôt. Une semaine, une éternité durant laquelle il avait enduré mille maux, l’âme torturée par le doute. Alors il continua sans hésitation ni faiblesse à frapper, variant les angles et n’épargnant aucune partie de la charmante anatomie offerte à ses sombres désirs. Quand il se retrouva face à elle, il approcha le bout de la cravache de ses lèvres crispées par la douleur. D’elle-même, elle ouvrit la bouche et suça langoureusement le bout de cuir qui l’avait si durement frappée. Satisfait, Thor constata que les bouts de seins bistres étaient gonflés ; ils avaient triplé de volume et ressemblaient à des pis de chèvre. Il présenta la cravache devantAnita, l’enjoignant de la tenir entre ses dents, puis il empoigna les aréoles entre pouce et index, les pinça et les tordit jusqu’à faire gémir sa ...
... soumise. Il descendit ensuite sa main droite le long du torse couvert de sueur, empauma le renflement du pubis puis plongea trois doigts dans le pertuis torride, si trempé qu’un clapotis obscène accompagnait ses mouvements dans le ventre offert. — J’ai envie de toi, esclave, je veux goûter ce soir à tous tes orifices. Serrant la cravache entre ses dents, Anita ne put que hocher la tête, ses yeux brillant comme des étoiles. Et certainement pas à cause des larmes. Thor la détacha précautionneusement, la prenant contre lui car ses jambes ne la portaient plus, puis il la prit dans ses bras avec aisance : pour lui, elle ne pesait pas plus qu’un moineau. Tout naturellement, la jeune fille noua ses bras autour du cou épais de son Viking et nicha son visage contre son torse. — Tu peux aller où tu veux ; je suis si bien, là... murmura-t-elle si bas qu’il crut avoir rêvé. Thor entra dans une chambre privée, une pièce sans fenêtre bien sûr au sol carrelé sombre et aux murs de pierre calcaire. Une grande baignoire occupait un angle, remplie aux trois-quarts. Gabe se redressa après avoir contrôlé la température de l’eau. Il se tourna vers les arrivants et lança : — Je vous laisse. Prends bien soin d’elle, Thor. Elle a l’air d’être bien, cette fille. — Je sais, Gabe, merci. Désolé pour tout à l’heure, j’étais à cran. — T’en fais pas, c’est normal. Ciao. Eirik se ploya pour déposer Anita dans l’eau tiède ; elle protesta en lâchant son cou puis se laissa glisser, disparaissant entièrement ...