1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (34)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Trash,

    ... Et qu’envisages-tu de me faire, exactement ? — Je vais d’abord te défoncer la chatte et la remplir de sperme. Tu es protégée ? — Oui, ne t’inquiète pas. — Parfait. Ensuite, je vais te démolir le trou du cul façon marteau-piqueur jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. — Pour ça, tu risques d’attendre longtemps : je n’ai pas l’intention de te supplier, à part pour que tu y ailles plus fort ! le nargua-t-elle en le regardant droit dans les yeux. En même temps, elle caressait son mandrin qui aurait fait reculer nombre de femmes moins courageuses et moins amoureuses qu’elle. Heureusement, son séjour à Bordeaux avait été employé à assouplir grandement ses orifices, surtout son anus, d’ailleurs. Certes, elle savait qu’elle allait déguster tellement la bite d’Eirik était épaisse, mais elle avait tellement envie de l’avoir en elle que rien d’autre n’avait d’importance. Aussi elle remonta les genoux contre son torse puis passa ses chevilles derrière sa nuque pour s’offrir aussi complètement que possible. — Alors, mon chéri, quel orifice veux-tu emplir en premier ? Ma chatte rose qui se languit de toi, ou mon ...
    ... mignon petit cul qui palpite ? Sans répondre, Eirik masturba un instant son énorme verge pour la rendre encore plus raide et fit coulisser le gland sur la vulve trempée, de haut en bas, puis la glissa dans la fente en écartant les lèvres gonflées avant de se guider dans le puits étroit mais brûlant qui l’attendait avec impatience. Il s’enfonça avec prudence au début, mais la réceptivité de sa partenaire lui fit comprendre qu’il pouvait se lâcher. Il donna un coup de reins puissant qui propulsa son mandrin tout au fond du vagin offert à sa convoitise, arrachant un petit cri à son amante. — Je te fais mal ? — Que du bien, continue. — Je suis tout au fond de toi, mais regarde : il s’en faut d’un bout que je rentre entièrement. Il se souleva et Anita put voir qu’en effet une partie de la verge puissante émergeait encore. Elle put ainsi poser ses mains tout autour pour apprécier l’épaisseur et la dureté de l’épieu de chair. — On n’a pas idée d’être aussi long... bougonna-t-elle en soupirant. Mais je pense que mon sexe va s’adapter rapidement à ta bite sans que je sois estropiée. Allez, vas-y, lâche les chevaux ! 
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