1. Seule à Paris


    Datte: 09/10/2018, Catégories: f, groscul, fépilée, Masturbation confession,

    ... son plaisir et recevoir ses giclées de semence blanche épaisse et odorante. J’essayai d’imaginer le goût et la consistance du sperme du petit étudiant. Sans doute plus liquide que celui d’Alain, je ne sais pas ; et je jouis une seconde fois en imaginant son sperme inonder mon vagin. J’ai toujours eu la chance de bien supporter les orgasmes ; je suis rapidement prête à recommencer. Il faisait encore chaud dans l’appartement, je ne me rhabillai pas. J’aime bien rester nue, mais Alain trouve que je n’ai pas assez le sens de l’exhibition. Sans doute trop complexée par mes fesses et mes cuisses. Complexée est certainement un mot trop fort et je me rends compte qu’en prenant de l’âge, j’assume de mieux en mieux mes rondeurs. Je n’avais pas grand-chose à faire, juste un peu de repassage, et la nudité était bien adaptée à la chaleur ambiante entretenue par celle du fer. En rangeant les affaires dans le dressing, je me laissai aller à me regarder dans la grande glace du fond. Pas trop moche, finalement. Mes seins tiennent bien, mes hanches larges ne sont pas si énormes que ça et mes cuisses sont proportionnées. Gros avantage : on ne voit pas trop la cellulite de face. Les petites lèvres, un peu trop développées peut-être, pendent hors de leur nid. Ce qui sauve tout, c’est mon ventre à peine bombé en bien lisse. J’attendis le début de soirée pour brancher Skype, décalage horaire oblige, on se parle plutôt le soir. La sonnerie retentit ; j’étais encore nue. Lorsque l’écran s’alluma ...
    ... avec la cam, je vis le visage éclairé d’Alain. — Quelle belle surprise ! Je me sentis rougir. Et je m’entendis dire : — Fais-en autant, on sera à égalité. Il n’hésita pas et me fit même un strip d’enfer devant la cam. Quand il retira son caleçon, son sexe était déjà largement tendu, tout droit. On ne se parlait plus. Il commença à se caresser doucement, faisant aller et venir sa main sur la tige devenue longue et rigide. Je réglai la cam pour qu’il me voie bien ; je remontai mes pieds sur les accoudoirs du fauteuil, les cuisses écartelées et le sexe largement ouvert et exposé. J’écartai mes lèvres qui s’ouvrirent comme des ailes de papillon pour offrir l’entrée de mon vagin brillant de mes sécrétions. Sa main s’activait de plus en plus ; il passait le pouce sur son gland luisant. Mon clitoris était tendu, sorti, petit bouton de nacre au milieu de muqueuses suintantes. Je frottai, je pinçai, et je jouis au moment où je vis sa semence jaillir en longues giclées blanches et épaisses. On se sourit et je lui dis simplement : — Ne dis rien ; à demain. L’écran s’éteignit brusquement ; je rallongeai mes jambes engourdies par la position et je partis au lit, apaisée. Il n’était pas tard ; le téléphone sonna : un numéro de province qui ne me disait rien. Je ne répondis pas et je m’endormis, ne prenant pas la peine d’écouter le message qui s’enregistrait. La nuit se passa sans escale : un sommeil sans rêves, ou plutôt sans souvenirs de rêves. Le matin, je n’avais pas le souvenir du coup de ...