1. Seule à Paris


    Datte: 09/10/2018, Catégories: f, groscul, fépilée, Masturbation confession,

    ... fil du soir et je ne m’en suis rendu compte qu’après avoir pris mon café. Le numéro me disait quelque chose ; un numéro du sud-ouest. Avant d’écouter le message, je pensais bien que ce devait être Sonia. Sonia est une ancienne copine qui était partie du côté de la Charente après un divorce houleux, après un mariage éclair au cours duquel elle avait quitté son mari pour un garçon sympa mais un peu marginal. J’aimais bien son ex avec lequel nous avions gardé le contact pendant quelques mois, puis nous nous sommes perdus de vue, comme souvent. Cette histoire remontait à presque vingt ans ! Je n’avais revu Sonia qu’une seule fois ; cela devait remonter à quatre ou cinq ans, lorsqu’elle avait fait un passage éclair à Paris. Elle est drôle et toujours un peu agitée. Depuis son départ, nous ne nous sommes pas oubliées et nous avons des conversations téléphoniques cinq ou six fois par an. Elle doit avoir un ou deux ans de plus que moi ; elle a une fille qui vient d’avoir dix-huit ans, dont l’origine semble un peu floue : son ex, ou le nouveau ? Elle n’a jamais été très claire sur ce sujet-là. Les dernières nouvelles remontaient à quelques semaines, date à laquelle elle m’avait annoncé qu’elle avait enfin réussi à monter sa propre affaire : un salon d’esthétique. Elle avait passé son diplôme d’esthéticienne et avait fini par racheter le salon de son ancienne patronne qui avait pris sa retraite. Son homme – je ne sais pas s’ils sont mariés – est du genre bricoleur. Pas vraiment fixé, ...
    ... il a des petits boulots, d’après ce que m’a dit Sonia, et il a pendant un temps géré une officine de tatouage qui avait fait faillite très rapidement. J’écoutai le message d’une oreille distraite tout en regardant les informations sur BFM. Sonia, à qui j’avais annoncé le départ d’Alain lors de notre dernière conversation, m’invitait pour l’été afin que je ne croupisse pas dans une ville inhabitable l’été. L’intention était gentille et l’offre me tentait, mais je n’aime pas trop aller chez les gens. Même quand nous allons voir de la famille, nous logeons à l’hôtel avec Alain. Et puis cohabiter avec une fille, certes sympa, mais dont j’ignore presque tout ne me semblait pas évident de prime abord. Je n’avais pas très envie de répondre trop rapidement. La météo était bonne, voire même chaude. J’avais un rendez-vous chez un libraire au milieu de matinée ; c’était la seule obligation de la journée. Vu les températures annoncées, le collant était à exclure, et pas question de se laisser aller les jambes nues, trop blanches. Je dois avouer que le dressing est plutôt rempli, ce qui pose régulièrement le problème du choix. Alain m’offre régulièrement des dessous, dont certains quasi importables sont restés neufs. J’optai pour le noir, seule couleur qui me plaît vraiment, parfois agrémenté d’un ruban ou de dentelle de couleur ; mais jamais de rouge ni de bleu. J’enfilai un string ; j’avoue aimer avoir les fesses nues. Alain aime que je porte des strings. Il les aime petits, sans doute ...