1. Jeune fille au père


    Datte: 10/10/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou

    ... la fois doux et pénétrant.Je dois répéter que j’étais véritablement émue par les regards si visiblement amoureux qu’ils s’échangeaient et par ces discrètes caresses par lesquelles ils témoignaient d’un si fort attachement l’un pour l’autre.Les premières semaines se sont passées dans une harmonie que je pourrais difficilement décrire. Manon avait un caractère facile tout en étant pleine de vie et d’une intelligence aussi prometteuse que celle de ces parents. Le seul problème qui se posait était l’aspect contraignant de leur travail. Sans rentrer dans les détails, les postes à responsabilité qu’ils occupaient tous deux ne leur laissaient pas autant de loisirs qu’ils l’auraient souhaité. Mais cela me laissait finalement pas mal de liberté, et je ne me rendais pas compte que ce « petit problème » allait bientôt en entraîner d’autres qui allaient mettre à mal cette si douce harmonie.Je me souviendrai toujours de ce vendredi après-midi où rentrant à la maison, alors que je n’avais pas ce jour-là à m’occuper de Manon qui était gardée par une de leurs amies. J’étais simplement venue me réfugier dans ma chambre. C’est alors que j’entendis un bruit indéfinissable qui me fit sursauter. J’étais normalement seule à la maison, et ce bruit suspect ne me rassurait pas. J’ai eu, finalement, le courage de me déplacer sans bruit vers le bureau pour y trouver, la tête blottie entre ses bras, Julien dont je ne comprenais pas trop l’attitude. Ce n’est qu’après quelques instants de silence que ...
    ... je réalisai qu’il était en train de pleurer ! Je ne saurais dire combien de temps je restais là à l’observer. Curieusement, je me sentais honteuse d’assister à une scène que j’aurais voulu effacer de ma pensée, mais rapidement je ressentis l’absolue nécessité de faire quelque chose.Je frappai doucement à la porte, ce qui provoqua chez lui un léger sursaut. Il tourna vers moi son beau visage rougit par la détresse et c’est à ce moment que je découvris sur le rebord du bureau un verre renversé et une bouteille de whisky dont j’ai vite compris qu’il venait d’abuser. Ses yeux étaient brillants et je ne savais pas trop si c’était essentiellement sous l’effet des larmes ou de l’alcool. Il était visiblement éméché et ne fit tout d’abord que s’excuser du spectacle peu reluisant qu’il m’offrait soudain.Curieusement, une fois la stupéfaction passée, ce n’est pas l’aspect si déplacé de son attitude dans un cadre par ailleurs si parfait qui envahit mes pensée, mais un sentiment aussi évident que spontané : la pitié. Sans trop réfléchir, je me suis approchée de lui. Son attitude d’abandon et de détresse lui donnait encore davantage d’humanité. J’avais soudain l’impression d’être avec un nouvel enfant dans la maison et bizarrement la raison de son désarroi était passée au second plan.– Je peux vous aider ?Il ne répondit pas, mais dans un geste réflexe et alors que je m’étais approchée de lui qui était resté assis dans son fauteuil, il tendit ses bras vers moi et éclata en sanglot pour ...
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