Déjeuner et dessert
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
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... place, pour cet après-midi et pour ce que vous avez envie d’y faire. Elle ne se trompa pas en interprétant cette réponse comme un blanc-seing complet. — Merci, Jérôme, et bon après-midi à nous. Elle avait eu le temps, au moment de la préparation du café, de se mettre – fait inédit depuis le début de leurs relations – du rouge à lèvres. — L’avez-vous remarqué, Jérôme ? Venez donc le goûter ! Il a un goût un peu sucré, quand même moins fort que celui de ma truffe. Il était donc dit que cet épisode les suivrait longtemps. — Pouvez-vous aller prendre la feutrine dans la salle de réunion ? Il y a fort à parier que nous en aurons besoin… Confortablement installée dans son fauteuil, elle aima le corps très grand et musculeux de cet homme plus tout jeune auquel une longue pratique de nombreux sports avait permis de garder une silhouette plus que convenable en dépit des années passées. Elle le dévisagea complètement quand il revint avec le drap de feutrine qu’elle lui demanda de placer sur son propre bureau. Elle l’arrêta quand il fut obligé de passer à deux doigts d’elle-même. Sans rien dire, elle le plaça debout devant elle assise, entre ses jambes, et sans un mot, sans un geste, sans un attouchement, par la seule force de sa pensée pourrait-on dire pour sourire, elle devina le sexe qui montait sous le slip. — Il en suffit de si peu ? lui demanda-t-elle en une question qui n’appelait en fait pas de réponse. Elle le fit s’appuyer face à elle, les fesses au bord du bureau, et lui ...
... descendit son slip à mi-cuisses. Elle voulut le mieux connaître et en analyser le curieux et subtil mécanisme. Alternant de douces caresses, effleurements, timides succions, elle voyait le sexe de l’homme monter rapidement et régulièrement pour redescendre, plus rarement, après quelques instants de moindre sollicitation. Elle commençait à le connaître, globalement. Même si elle trouvait parfois qu’il n’aurait rien perdu à être un peu plus long, elle le considérait en revanche d’un diamètre quasi idéal, d’une rigidité très satisfaisante et considérait, sans grande expérience autre que conjugale, son propriétaire comme un utilisateur averti. — Vous êtes-vous demandé, Jérôme, pourquoi j’ai aujourd’hui choisi des bas noirs alors que je connais – et partage – votre préférence pour la couleur chair ? C’était elle seule qui parlait en ce début d’après-midi. — Vous comprendrez quand vous me les aurez enlevés, sans l’aide de vos mains s’il vous plaît, et que je vous en aurai bandé les yeux. Je les crois tout simplement d’une opacité plus complète. Il comprit ainsi sa feuille de route et entreprit de lui enlever les bas sans l’aide de ses mains. Pour l’aider un peu, à démarrer au moins, elle se leva et se mit en appui sur le bureau. Avec les dents, en mettant la tête sous sa jupe il fit descendre progressivement, centimètre par centimètre les bas de sa maîtresse, très dominatrice en cet instant précis. L’exercice était difficile, d’autant qu’elle lui proposa de faire une tentative avec le ...