Déjeuner et dessert
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
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fdomine,
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... sexe. Quand l’un des bas fut à mi-mollet, elle se rassit dans le fauteuil directorial, plaça la jambe en appui sur le bureau, lui demanda d’enjamber à l’envers cette jambe et elle l’aida à glisser son sexe entre sa jambe et son bas afin de tenter de lui enlever. Elle aima plus que tout cette lubrique tentative et en profitait, par derrière, pour observer le cul de son esclave qui poussait fort dans le seul objectif d’enlever un seul de ses bas. Il serait faux d’affirmer qu’elle ne l’aida pas du tout, mais il s’acquitta fort convenablement de cette tâche inédite. Les bas étaient par terre au milieu de la pièce. L’homme, désormais nu, transpirait d’abondance alors que son sexe turgescent prenait quelques repos mérité. Elle lui demanda de ramasser ses bas, éparpillés sur la moquette, afin de les lui donner. Il allait se baisser pour les ramasser quand il entendit ce seul mot prononcé sur le ton interrogatif : — Jérôme ? Il comprit qu’il n’avait pas plus qu’il y a quelques minutes le droit d’utiliser ses mains. C’est donc à genoux qu’il ramassa, avec les dents, les bas de sa maîtresse qui apprécia de le voir dans cette situation. Elle mit un soin tout particulier à lui en bander les yeux avant de lui demander de s’allonger par terre, sur la moquette douce, propre et épaisse, et de laisser passer un certain temps sans aucune autre action ni aucun son. Il l’entendit uniquement – elle lui avait laissé l’usage de l’ouïe – se réinstaller dans le fauteuil, qui avait des roulettes et ...
... s’approcher de l’endroit de la pièce où il se trouvait. Elle aima lui parler. — Je ne connais pas l’identité de vos visiteurs de la semaine à venir, mais je les crois importants et ils ne s’imagineront pas, quand ils parleront affaires avec vous, de « l’affaire » que vous y aurez traitée le week-end précédent. Ils ne vous imagineraient pas dans cette position, dans cette position plutôt, dans ce bureau où ils seront reçus. Avouez que la situation est cocasse. Et superbe ! Il sentit sur son sexe le contact des escarpins. Elle avait entrepris de jouer avec lui. Elle alternait habilement, avec et sans les escarpins, debout et assise dans le fauteuil. De temps en temps, autant pour le plaisir que pour le surprendre, elle allait lui déposer un baiser, tendre ou profond ou, agenouillée, le prendre en bouche pour quelques secondes. Elle l’aida à se relever, suspendit à la patère de son sexe l’un de ses talons-aiguille. — Je vous mets l’autre, Jérôme ? Pas celui où vous vous êtes lâché l’autre jour, sait-on jamais… Cette évocation la fit sourire, et elle le guida vers le bureau où elle l’aida à s’allonger sur le dos, sur la feutrine. Elle lui écarta les bras, lui donnant l’allure d’un crucifié. — Je vais vous emprunter cravate et ceinture, Jérôme. Il l’entendit faire, et au prix de quelques contorsions elle parvint rapidement à son but. Elle avait attaché l’un à l’autre grâce à sa ceinture et sa cravate, par dessous le large bureau, les deux bras de son amant, d’un lien ferme qui le ...