La dernière chevauchée
Datte: 03/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
entreseins,
pénétratio,
portrait,
Résumé des épisodes précédents :Papy est un suceur de tétineLa directrice d’une agence immobilière, Catherine La Motte Pernac, vient estimer la maison d’Antoine Lopez. Pensant être seule, elle est surprise par ce vieil homme aussi charismatique que pervers. Il lui demande une vile faveur, et elle accepte.Les promesses d’AntoineTransformé par sa rencontre libertine avec Catherine, Antoine décide de lui confier la vente de sa vieille demeure. Conscient du pouvoir qu’il exerce sur cette femme, Antoine lui propose de garder la moitié du prix de vente contre un simple dîner. ____________________________________ Dans son bureau de l’agenceEcho Imm, Catherine tenta de composer son après-midi avec les ivresses que provoquaient ses contradictions. Le défilé des jours l’éloignait trop doucement de l’œil du cyclone et ce n’est qu’au bout d’une semaine, que Madame La Motte Pernac comprit ce qu’Antoine Lopez avait planifié : toute peine mérite salaire et contre un chèque à six chiffres, sa peine serait de lui offrir une belle soirée. Catherine demanda à Cyril de s’occuper de la vente de la maison et il fallait croire que son employé était doué puisque la vieille demeure se vendit en à peine deux semaines. Un week-end, Catherine passa à faible allure devant la demeure du vieil homme : Antoine semblait être rentré de son voyage. Elle eut la surprise de voir un camion de déménagement devant la propriété. Elle s’arrêta à la hauteur du 17, mais ne voulait pas être reconnue par qui que ce ...
... soit et après un dernier regard vers la porte d‘entrée, elle poursuivit sa route. Plusieurs jours plus tard, Catherine arriva à l’agence et découvrit une seule lettre sur son bureau. Elle identifia l’écriture d’Antoine. La date du dîner était enfin fixée : mercredi 23 à partir de 19h30. C’était déjà demain soir ! Mercredi 23 septembre Après une journée fraîche et ensoleillée, le ciel de ce début de soirée s’était assombri. Une grosse voiture s’invita dans la rue des Acacias et cérémonieusement, elle la remonta pour s’arrêter à la hauteur du 17. Quelques longues minutes s’écoulèrent avant que la conductrice ne descende. Ses cheveux étaient attachés hauts derrière sa nuque. Sur son bras, recouvrant sa pochette, un petit gilet noir. Catherine traversa fièrement la rue sur ses talons hauts… Elle portait une petite robe de lin noir sans manche qui s’arrêtait à la moitié de ses cuisses. Son soutien-gorge confinait exagérément sa poitrine pour en mettre le sillon en valeur. Elle sonna brièvement au portail et entra, avant de remonter la petite allée jusqu’à l’escalier qui la menait au perron. Alors que ses doigts allaient frapper à la vieille porte, celle-ci s’ouvrit sur le vieil homme en costume-cravate. — Catherine ! Rapidement, Antoine détailla la robe et surtout ses deux amis maintenus fermement l’un contre l’autre. — Bonsoir Antoine ! Vous allez bien ?— Entrez. Vous êtes magnifique ! Depuis quelque temps, mes douleurs m’abandonnent, alors je prie pour que cela continue. Ils ...