La dernière chevauchée
Datte: 03/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
entreseins,
pénétratio,
portrait,
... quatre fois mère, mais avouant ne pas accepter d’avoir été balancée par un mari préférant les jeunes femmes. À la fin de l’apéritif, Antoine se leva et revint avec une enveloppe : sans un mot, il la déposa sur l’assiette de Catherine. Cette dernière hésita… Elle croisa le regard de son généreux donateur et Catherine se leva en silence. Le bonheur quitta le visage d’Antoine. Il avala quelque gorgée de sa boisson tout en regardant son invitée marcher, onduler naturellement des fesses jusqu’à sa pochette. — Maintenant, vous pourriez partir, Madame La Motte Pernac. Je n’en serais point surpris. Vous avez ce que vous voulez ! Catherine se tourna vers Antoine. Debout, elle resta silencieuse. Elle passa ses doigts dans ses cheveux et le visage impassible, elle redressa bien le menton. — Mais vous m’avez promis un dîner !— Et Antoine tient toujours ses promesses n’est-ce pas ? Un instant de silence meubla le salon. Leurs regards se conjuguèrent et Catherine opina de la tête. — Et si vous remettiez cela ? Antoine leva son verre de soda vide et Catherine retourna s’approvisionner dans la cuisine. Pendant ce temps, Monsieur Lopez se leva pour déposer un antique vinyle sur sa platine et il lança le vieux tourne-disque, avant de revenir s’asseoir. Catherine revint sur une mélodie jazzy. Debout à côté d’Antoine, elle commença à remplir le verre du vieil homme. Il leva les yeux vers sa « serveuse », esquissa un sourire et il posa sa main délicatement sur les fesses fermes. Antoine la ...
... caressa, apprécia le contact de ses doigts sur le lin, avant de descendre derrière la cuisse et remonter sa vieille main sur la peau douce et parfaite. — Vous devriez vous trouver un homme pour vous honorer.— Non !— Catherine : vous êtes une orchidée, vous nécessitez attention et… arrosage pour nous ravir de vos offrandes.— Je suis trop vieille pour être à nouveau déçue. Il arrêta sa main sur le fessier frais. Ses doigts apprécièrent la fermeté de la sportive. — Pendant mon absence, avez-vous sucé ? Antoine braqua ses yeux pour la confondre, mais Catherine détourna les siens… Les doigts calleux glissèrent sur ce sillon renfermant tant de mystère. — Vous êtes venue sans culotte…— Je vous ai obéi ! Catherine tendit subtilement ses fesses et écarta légèrement les cuisses, avant de s’immobiliser. Elle ferma les yeux. Ses lèvres se décollèrent légèrement et elle poussa un léger soupir de culpabilité. — Le contact de votre sexe au bout de mes doigts est… divin. À son tour, Antoine ferma les yeux et sa main libre se posa sur la braguette de son pantalon. À travers la toile, il effleura sa vieille virilité. Au milieu du dîner, Catherine posa sa serviette sur la table et se leva pour débarrasser : — Vous avez une manière de vous déplacer qui n’appartient qu’à vous. Montrez-moi ! Mon petit-fils était subjugué par votre façon de vous mouvoir. Catherine se retint de rire : deux assiettes dans une main et un plat dans l’autre, elle marcha de gauche à droite, d’avant en arrière, avec plus ou ...