1. La dernière chevauchée


    Datte: 03/08/2017, Catégories: fh, hplusag, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation entreseins, pénétratio, portrait,

    ... remontèrent le petit couloir en direction du salon. Quelque chose la perturba et elle ralentit le pas, alors qu’Antoine entrait dans le salon. Catherine fronça les sourcils et Antoine anticipa : — Les choses se sont accélérées. Un type est passé pour vider la cave et le grenier. Emmaüs a embarqué quelques meubles de valeur !— Non Antoine ! Je veux parler de vos cannes !? En effet, le vieil homme se retourna et il ne put s’empêcher d’afficher un large sourire. — Mon nouveau médicament à moins d’effet secondaire. Je me passe de canne depuis dix jours ! À la fin du dîner, on pourra même danser le jerk si cela vous dit ! Ils poussèrent un petit rire et l’appétit d’Antoine grandit en imaginant les effets de cette danse sur l’imposante poitrine. La moitié des meubles du salon avaient pris leur envol. Il ne restait plus que la table du dîner et un vaisselier sur lequel Catherine posa sa pochette. Dans un coin contre le mur, un vieux tourne-disque siégeait sur une vieille chaise. Catherine frotta ses doigts les uns contre les autres. — Vous avez eu beaucoup de papier à régler ces derniers temps.— Ne m’en parlez pas. Entre la maison, les nouveaux propriétaires et le notaire, je ne touche plus terre !— Et la maison de retraite ? Vous avez trouvé une place ? Antoine s’empressa : — N’ayez crainte, tout est réglé, on n’en parle plus. Passons ! Ils firent quelques pas dans la pièce vide. — Vous êtes d’une fraîcheur bien agréable. Et je remarque quelques kilos en moins n’est-ce pas ?— Vos ...
    ... yeux voient bien. Oui, j’ai perdu cinq kilos ! Il évalua du regard les galbes de son invitée. — J’ai fait venir un traiteur et j’espère vous ravir. Prenez place. Antoine tint le gilet contre lui et il le pendit dans le couloir de l’entrée, alors que Catherine se posait à la table du dîner. — Puis-je vous proposer un petit apéritif ou bien, désirez-vous directement un petit verre de rosé ? Catherine hésita une seconde. — Ce sera plutôt un apéritif, un Martini blanc s’il vous plaît. Antoine disparut un instant, le temps pour Catherine de détailler la tristesse de la teinte des murs. Elle ajusta la bretelle de sa robe sur son épaule et s’inquiéta. — Voulez-vous de mon aide ?— Non. Antoine revint les mains pleines. Il déposa les deux verres et la bouteille d’apéritif sur la table, ainsi qu’une petite canette de soda. Il s’approcha de son invitée et posa délicatement sa main gauche sur son épaule, avant de verser fébrilement le Martini dans le verre. — Merci d’être venue ! Elle leva les yeux vers lui, afficha un sourire, avant de lui laisser tout le loisir de plonger ses yeux dans son décolleté. — J’aimerais avoir votre âge, ma belle ! Antoine détailla les cuisses fermes et croisées. Il prit place en face de Catherine. Il se versa le soda dans un simple verre et ils trinquèrent aux jours meilleurs. Antoine discourut sur la guerre d’Indochine. Il révéla ses traumatismes et ses souffrances pour un conflit qui le réveillait mille fois dans la nuit. Catherine témoigna sa fierté d’être ...
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