1. La dernière chevauchée


    Datte: 03/08/2017, Catégories: fh, hplusag, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation entreseins, pénétratio, portrait,

    ... dérobait du décolleté et avec sa main gauche, il releva le bas de la robe. L’avant des cuisses de Catherine heurta le bord de la table, elle s’inclina en avant vers les couverts et particulièrement vers les restes de caramel et chantilly. Par habitude, elle tenta de résister… Sa vulve gonflée et trempée sur laquelle se posa le gland fut pénétrée avec la vigueur d’un jeune homme. Les vieilles mains se posèrent sur les hanches et Antoine entama sa dernière chevauchée… Catherine geignait, sa poitrine s’agitait hors de son décolleté et une imposante masse sortie du décolleté pour « dégager » bruyamment un dessert. La conseillère de charme se cramponnait à la table, ses coudes jonglant avec les couverts… Elle tenta de tourner la tête, mais la vigueur de l’étreinte l’en dissuada. Antoine grogna fort et encore, quand soudain, un râle victorieux résonna dans la pièce. Le vieil homme s’immobilisa en Catherine et déchargea au fond de sa matrice… Il beugla quand la gaine brûlante se resserra autour de son bélier, juste avant la seconde décharge… Antoine reprit quelques assauts, mais épuisé, les muscles du corps et les poumons en feux, il s’immobilisa dans l’orifice. Catherine ondula du bassin pour le ressentir. Antoine se retira en chancelant, alors que son invitée restait quelques secondes le corps affalé dans les restes du dîner. Finalement, Catherine se redressa. Elle abaissa la robe sur ses fesses et se tourna face à l’homme de sa soirée. Elle remballa vulgairement sa poitrine ...
    ... dans la robe. Le sexe d’Antoine restait en érection, mais son regard était vide. Il soufflait fort, alors que Catherine sentait une liqueur couler de sa chatte ensemencée. — Antoine : dites quelque chose !— Laissez-moi… Catherine baissa les yeux. Elle ajusta sa poitrine dans sa robe en ôtant quelques restes de crème et constata les taches. Antoine se dirigea vers le mur, il s’y adossa pour reprendre son souffle. Il ferma les yeux plusieurs fois. Catherine saisit le torchon de vaisselle sur la table pour tenter d’essuyer sa robe et surtout, la débarrasser du caramel. — Dois-je vraiment vous laisser ?— Partez, vous dis-je ! Elle déposa le torchon sur la table, prit sa pochette sur le vaisselier et s’éloigna en direction du porte-manteau. Elle enfila son gilet qui allait lui donner plus de dignité. Étrangement, elle revint traverser le salon pour s’éloigner vers la porte donnant derrière la maison. — Que faites-vous Catherine ?— C’est par cette porte que tout a commencé ! Antoine se rappela que c’était par-là, qu’un matin, elle avait « forcé » la porte de sa demeure. Il expira énergiquement. — Merci de m’avoir redonné ma fierté. Silencieuse, le regard humide d’alcool ou d’émotion, Catherine se retourna une dernière fois sur Antoine, avant de sortir. Elle traversa le jardinet, ouvrit le portillon et s’éloigna d’un pas rapide. Dans le salon de la vieille demeure, un soutien-gorge était posé sur le sol. Dans le couloir de la cuisine, Antoine vit Catherine s’éloigner comme un fantôme. ...
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