Retrouvailles bénies (1)
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
Hétéro
... nuque sec. Elle gémit de plus en plus fort sous les coups de reins que je donne. Elle aussi, envoie une légère pulsation venant de ses fesses, me permettant d’aller encore plus loin en elle. Tout à coup elle plaque ses mains sur mes joues et aligne nos deux regards l’un dans l’autre. — Attends... viens-là... Elle m’éloigne légèrement d’elle, et se met à quatre pattes sur le lit, m’offrant ainsi ses fesses rosies par le plaisir. — Prends-moi comme ça... comme un mâle prend sa femelle ! Je réponds à son désir tout de suite. Je la saisis par les hanches, la pénètre à nouveau et l’agrippe ensuite par les fesses pour lui faire l’amour un peu plus fort encore. Alors qu’elle gémit de plus en plus fort, criant presque son plaisir. Je lui assène de légères claques sur les fesses. — Oui, vas-y ! Plus fort encore ! Je m’exécute et me fais plus puissant. Elle crie de plus en plus fort et son corps commence à se raidir par la jouissance. Je commence à sentir le plaisir monter en moi de plus en plus fort. Par ses cris de plaisir et sous les mouvements de plus en plus rapides, nous allons jouir ensemble. — Viens ma chérie... avec moi... — Oui ! Oui mon cœur ! Ensemble !!! La foudre de l’orgasme nous frappe tous les deux. Mes genoux tremblent comme des feuilles, mon emprise sur ses hanches est très forte. Nous restons ainsi, pendant un long soupir de ...
... plaisir, figés... Alors que je n’ai toujours pas repris ma respiration, je détends lentement mon corps pour permettre au sien de s’allonger sans risque de lui faire mal. Doucement, je me retire, et m’allonge à ses côtés. Elle a encore les yeux clos, et respire à grandes inspirations, laissant échapper de légers râles de satisfaction. Je sens alors des doigts effleurer le long de mon ventre. Je la rejoins avec les miens, et lui serre la main avec force. Alors qu’elle ouvre lentement les yeux, je lui sourit avec tendresse. Elle aussi. Je m’approche alors doucement et pose un bisou doux sur son front. Ça a l’air de la chatouiller légèrement, elle gazouille un peu et un frisson léger la parcourt. Elle vient encore plus près de moi et pose sa joue sur mon cœur encore tout fou. Entre deux respirations encore saccadées, elle susurre : « Bienvenue à la maison... » Je pose ma main sur le haut de ses cheveux et les caresse avec douceur. C’est alors que je vois que yeux grands ouverts dans la semi-pénombre : Ce sont les chats, qui nous observent. qesqwwnh — Oh ! Je crois qu’on est observés ! Elle tourne la tête, voit les deux minous nous dévisager avec leurs grands yeux ronds. Moi et Lucille échangeons un bref regard et éclatons de rire ensemble. Nus comme des vers, elle, recroquevillée sur moi, nous échanger un baiser amoureux et nous enlaçons encore...