1. Au plaisir de vous revoir


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, inconnu, bizarre, boitenuit, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, jeu, fsoumisah,

    ... plutôt les hommes qui proposent à leur femme ce genre d’extra. Muriel sent que mon silence est le début d’une approbation. Elle m’embrasse dans le cou, se fait câline : — Mais bien sûr, c’est toi qui décides.— Sauf que tu en as déjà envie, sinon tu ne me l’aurais pas proposé. Attends un peu, je ne dis pas non. Mais il faut que les choses soient claires. On reste au bar, tu ne danses pas avec un autre homme. Et il est hors de question d’aller dans l’autre salle. C’est d’accord ?— Mais bien sûr, mon amour.— Tu veux y aller quand ?— Demain soir, par exemple. J’ai déjà réservé la baby-sitter. Sur ces mots, Muriel court en riant vers la chambre. Je la suis et la trouve alanguie sur le lit, jambes ouvertes, bras au-dessus de la tête, avec le regard trouble que je lui connais quand elle a envie de faire l’amour. Le lendemain soir, nous sommes attablés dans un restaurant. Muriel est un peu trop sexy à mon goût, vu les circonstances. Elle a joué sur les contrastes : maquillage léger, veste sage, chemisier serré mais boutonné. C’est le bas qui me dérange : jupe courte, jambes nues, mules à talons hauts et ongles des pieds vernis. Elle m’a expliqué que ledress code en vigueur dans ces boîtes précise que les hommes doivent être en costume et cravate, et les femmes dévoiler leurs charmes. N’empêche que je trouve sa tenue déplacée dans ce restaurant. J’imagine que tous les hommes la regardent, et devinent que nous allons ensuite dans une boîte libertine. Mais mon malaise se dissipe au fil ...
    ... du dîner. Nul ne fait attention à nous. Le visage de Muriel est angélique. Son pied, sous la table, vient caresser mon mollet. J’aime ma femme, profondément. Quand je l’ai connue, elle avait vingt-cinq ans et aimait jouer les lolitas : petit format, cheveux bruns et courts, corps fin et souple serré dans un jean’s, ballerines, avec un côté sauvageonne revendiqué. Lolita, elle l’était d’ailleurs jusqu’au bout de ses jolis ongles. Je l’ai appris quand elle m’a dit le nombre de ses amants passés… Bon, il paraît que les femmes qui ont bien vécu quand elles étaient célibataires font ensuite les meilleures épouses et les meilleures mères. Je manque d’éléments comparatifs pour confirmer mais à en juger par son exemple, c’est vrai. Et son riche passé amoureux avait au moins un avantage : elle aimait beaucoup faire l’amour, le faisait remarquablement bien, sachant prendre du plaisir autant qu’en donner. À défaut de lui avoir enseigné quelque chose sur ce plan-là, fierté à laquelle les hommes sont sensibles quand il s’agit de leur épouse, j’en ai au moins eu une autre : elle est passée avec moi d’une adolescence prolongée à un statut de femme parfaitement assumé. Pas simplement parce qu’elle m’a donné deux enfants. Mais aussi parce que je lui ai appris à s’habiller différemment, selon mes goûts : des talons, des jupes, des soutien-gorge pigeonnants qui mettent en valeur ses petits seins plantés hauts. Et je l’ai vue progressivement entrer dans une nouvelle peau, prendre de l’assurance ...
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