1. Au plaisir de vous revoir


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, inconnu, bizarre, boitenuit, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, jeu, fsoumisah,

    ... toute dignité, toute pudeur, et la mène au son de sa voix. Je sais que je devrais intervenir, interrompre ce jeu. Mais je ne peux pas. Je suis comme hypnotisé par cette docilité que je découvre chez ma femme, par la manière dont cet homme l’emmène toujours plus loin. Et mon sexe commence à bander… La voix continue, implacable : — Remettez votre main là où elle était, madame. Elle y était très bien. Caressez-vous, maintenant. Mais doucement, juste deux doigts en fourche autour de votre clitoris, pour le faire durcir. La main droite de Muriel file de nouveau sous sa jupe, comme si elle n’attendait que cet ordre. Son regard est vide, sa bouche légèrement ouverte, les ailes de son nez se pincent, elle commence à haleter, sa respiration courte soulève ses seins. Je n’existe plus pour elle. Elle est ailleurs, avec cet homme, avec cette voix. — C’est parfait, madame. Sachez que votre mari vous regarde, vous désire, et qu’il veut votre plaisir. C’est pour lui que vous vous caressez. Continuez de me regarder, et n’allez pas trop vite. Ça y est, votre clitoris est dur ?— Oui. La voix devient plus autoritaire : — Pas de réponse brève. Votre mari et moi voulons une vraie réponse. Je vous repose la question : votre clitoris est-il dur ? Cette brusque intervention de l’homme semble trancher les derniers liens qui retenaient Muriel à la pudeur. Elle redresse son visage, regarde l’homme. Sa phrase est hachée par les halètements de plaisir, mais sa voix est plus forte : — Oui… Mon ...
    ... clitoris… est… dur.— C’est très bien. Maintenant, madame, vous allez poser vos pieds sur l’angle de la table. Débarrassez-vous de vos mules, elles vous gênent. Ecartez les jambes autant que vous le pouvez pour bien ouvrir votre chatte. Caressez-vous avec un seul doigt, remontez-le le long de votre clitoris. Et posez votre main gauche sur le sexe de votre mari. Vous verrez, je suis certain qu’il bande. Muriel exécute ces ordres un à un, au fur et à mesure que la voix les lui donne. Elle fait chuter ses mules sur le sol en agitant ses pieds. Le spectacle qu’elle offre me bouleverse par sa force érotique. Le fait d’avoir levé ses cuisses pour poser ses pieds sur la table a fait glisser sa jupe sur ses jambes. Je vois sa main en conque bouger sur sa chatte, ses jambes entièrement dévoilées, ses pieds nus aux ongles vernis de rouge crispés sur l’angle de la table, j’entends ses halètements de plaisir, de plus en plus rauques. Je bande comme un taureau. Et le dernier ordre donné par la voix me fait définitivement basculer, quand la main de Muriel saisit mon sexe dur à travers l’étoffe mince de mon pantalon. Une onde de plaisir sillonne mon corps. Elle me tient, mais en vérité c’est cette voix qui nous tient tous les deux. Muriel se laisse glisser en arrière, tête et épaules contre le dossier de la banquette. Aussitôt, la voix la rappelle sèchement à l’ordre : — Pas de femmes avachies dans mon établissement ! Redressez-vous, madame, et regardez-moi. Vous jouirez quand je vous le dirai. ...
«12...5678»