Au plaisir de vous revoir
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
fhh,
hplusag,
inconnu,
bizarre,
boitenuit,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
jeu,
fsoumisah,
... Monsieur, aidez-la à garder sa position en mettant votre main sur ses reins. Nous obéissons simultanément. Sa main se crispe sur mon sexe, m’arrachant un petit cri de plaisir. Ses dents serrent sa lèvre intérieure, ses yeux se plissent. Je connais ces stigmates : elle est au bord de l’orgasme. La voix l’a senti aussi : — Vous êtes arrivée, madame. Appuyez plus fort sur votre clitoris, un mouvement circulaire. Ne fermez pas les yeux. Vous allez jouir, parce que je le veux. Et je veux aussi vous entendre. La voix s’est à peine tue que le corps de Muriel se tend comme un arc. Elle ouvre grand la bouche, sa main s’agite frénétiquement sur son sexe, des saccades de plaisir la traversent, sa tête se rejette en arrière, et le son arrive enfin, avec un léger décalage sur son orgasme : une longue plainte, modulée, qui n’en finit pas, alors que sa main s’est calmée et que ses hanches sont prises de soubresauts. Puis, elle tombe sur moi comme une marionnette dont on aurait tranché les fils et reste là, immobile. Seules ses jambes, fermées mais allongées sur la table, et nues jusqu’en haut des cuisses, bougent légèrement. Elle les frotte l’une contre l’autre. Sa tête est enfouie contre ma poitrine. Elle me serre. Face à nous, l’homme s’est levé. Il me paraît encore plus grand que tout à l’heure. Il fait le tour de la table et vient vers nous. Il prend la main droite de Muriel, celle avec laquelle elle s’est caressée et qui porte certainement son odeur, lui fait un baisemain, puis se ...
... penche vers moi. D’un geste rapide et sûr, il glisse une carte dans la poche extérieure de ma veste : — Vous pouvez être satisfait de votre épouse, monsieur. Veuillez m’excuser de vous laisser, mais je dois aller faire un tour en salle. Et j’imagine que vous avez besoin de rester seuls pour vous retrouver. Quand votre femme sera remise, rentrez tranquillement chez vous. Elle aura très envie de faire l’amour, besoin même. J’ai eu grand plaisir à vous rencontrer. Laissez passer quelques jours, quelques semaines même, réfléchissez bien à ce qui s’est passé ce soir. Et si vous avez envie d’aller un peu plus loin, rappelez-moi, vous avez ma carte. Mais nous ne nous reverrons pas ici, plutôt chez moi, c’est plus intime. Bonne fin de soirée, et au plaisir de vous revoir bientôt. Il s’éloigne. Dans mes bras, Muriel reprend progressivement vie. Elle embrasse ma poitrine, a replié ses jambes. L’excitation est retombée en moi. Sa position impudique me gêne. Du bar, des couples nous regardent. Sans doute n’ont-ils rien perdu du spectacle, malgré la semi pénombre. Je prends son string rouge sur la table, j’essaie de tirer sa jupe sur ses cuisses, j’enfile ses mules sur ses pieds. J’embrasse et je caresse sa nuque. Et j’entends sa petite voix, qui semble venir de loin : — Je t’aime, Pascal. Tu ne m’en veux pas ?— Moi aussi, je t’aime, ma chérie. Ne t’inquiète pas, tout va bien, reste là, ne bouge pas. Nous restons là une vingtaine de minutes, dans une espèce de pause après la tempête, ...