1. Le Petit Chaperon Rouge (1)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Zoophilie,

    Il y a fort longtemps, une jeune demoiselle de dix-huit printemps, le village n’en avait compté de si ravissante depuis quelques décennies. Sa mère, veuve peu après sa naissance, lui transmit une éducation stricte. Sa mère-grand l’affectionnait, elle lui confectionna un somptueux chaperon rouge. La ravissante demoiselle ne sortait jamais sans en être vêtue. Les villageois la surnommaient le Petit Chaperon Rouge. Quelle créature superbe ! Sapristi ! L’avenir promettait de la rendre aussi ravissante que sa mère. Pour le moment, ses petits seins tendaient son corsage. Sa taille s’était affinée, ses hanches se faisaient prometteuses. Un chasseur s’était installé dans le voisinage, il y a quelques années. Oh qu’il était disgracieux ! Son regard vous glaçait le sang ! Sa longue barbe, sa musculature imposante, lui concédait une allure sauvage. Ses chemisettes entre-ouvertes dévoilaient sa peau velue. Sa prestance effrayante lui valut le sobriquet de Loup. Un jour, la mère du Petit Chaperon Rouge ayant cuit des galettes, lui dit : – Va visiter Mère-grand ! On dit qu’elle est souffrante, rapporte-moi des nouvelles ! Tu lui porteras une galette et un petit pot de beurre. Mère-grand habitait le village voisin. Il y avait bien deux kilomètres jusqu’à sa maison. Pour s’y rendre il fallait traverser un bois, dans lequel travaillaient des bûcherons, ce qui assurait la sécurité de l’enfant. Le Petit Chaperon Rouge se mit donc en route, toute guillerette de pouvoir se promener seule par les ...
    ... sentiers. Arrivée dans le bois, elle rencontra Loup qui s’était posté sur sa route. – Bonjour, Petit Chaperon Rouge ! Où vous rendez-vous ainsi ? Demanda-t-il d’une voix doucereuse. – Bonjour, Loup. Je m’en vais voir Mère-grand qui est malade. Je lui porte une galette et un petit pot de beurre. C’est Mère qui m’envoie. – Où vit ta Mère-grand ? Est-ce bien loin ? – Oh oui, c’est loin ! C’est à l’orée du bois, la première maison à l’entrée du village. – Je pourrais peut-être aller lui dire bonjour, moi aussi. – Oh ! Oui, si tel est votre souhait. Vous ne pourrez manquer sa maison, les volets sont de la même couleur que mon chaperon. Nous pourrions cheminer ensemble. – Non ! Je dois auparavant m’acquitter d’une tâche ingrate. Prenez donc ce raccourci, vous arriverez plus rapidement ; moi, je vais par l’autre chemin ! Nous nous retrouverons certainement là-bas. Le Petit Chaperon Rouge fit confiance à Loup. Comment aurait-elle pu imaginer qu’il lui faisait faire un long détour qui retarderait sa course. Sa mère ne lui avait jamais dit de se méfier des mauvaises rencontres que l’on pouvait faire en chemin ; pourquoi n’aurait-elle pas fait confiance à un homme aussi gentil qui allait, lui aussi, dire bonjour à Mère-grand. La demoiselle continua sa route et, puisqu’il s’agissait d’un raccourci, elle prit son temps : elle écoutait les chants des oiseaux, admirait les papillons qui volaient de fleur en fleur, observait même des petits lapins qui jouaient près des fourrés. Elle cueillit ...
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