1. Le Petit Chaperon Rouge (1)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... la couverture et lui dit : – Pose la galette et le petit pot de beurre sur la table et viens te coucher près de moi. Le Petit Chaperon Rouge se déshabilla bien vite. Elle ne garda pour tout vêtement qu’une petite culotte blanche qui moulait délicieusement ses petites fesses. La jeune demoiselle vint se coucher près de celui qu’elle croyait être Mère-grand, cachée sous la couverture. Elle se blottit contre lui et celui-ci l’enlaça et la serra très fort. L’enfant fut bien étonnée : – Oh Mère-grand, comme vous avez des poils doux et soyeux sur tout le corps ! – C’est pour que tu sois mieux contre moi, mon enfant ! – Oh Mère-grand, que vous avez de grands bras ! – C’est pour te serrer plus près de moi, mon enfant ! Et c’est vrai que le Loup la blottissait contre sa poitrine musclée et que ses mains caressaient son dos et ses fesses encore couvertes de sa petite culotte. Même sous le tissu, elles semblaient si mignonnes. Il humait la délicieuse odeur proprette de ses cheveux et de sa peau. Le Petit Chaperon Rouge savait bien que ce n’était pas Mère-grand. La situation inattendue aurait dû la faire fuir. Les deux femmes s’adonnaient régulièrement à des plaisirs mutuels, dans le secret de la mère. Vivre ces sensations qu’elle chérissait tant avec un inconnu, l’étourdissait. Une protubérance vigoureuse pressait la tendre paroi de son ventre. Son jeune corps innocent était saisi de frissons, de faiblesse et de tremblements... Elle se blottit plus fort contre la fourrure soyeuse du ...
    ... loup, sa peau frémissait au doux contact sensuel. Son regard éperdu de désir croisa les yeux jaunes du prédateur. La demoiselle aurait dû être effrayée, mais la curiosité et la tentation de lui céder l’emportaient sur sa raison. Ce jeu de séduction, l’excitait. – Oh Mère-grand, que vous avez de grandes mains ! – C’est pour mieux te caresser, mon enfant ! Son ventre se contracta délicieusement. Un courant électrique aussi léger qu’une envolée de papillons caressa son intimité. Elle désirait sentir ses grandes mains griffues sur tout son corps et découvrir les nombreux plaisirs qu’un mâle pourrait lui offrir. Et les mains parcoururent tout son corps, caressant ses jeunes seins sensibles, son ventre au bas duquel poussait un joli petit duvet, elles descendirent même entre ses cuisses, passant sous la petite culotte qu’elle avait gardée et écartant les lèvres mignonnes. Ses doigts experts caressaient délicatement son bouton d’amour, parfois ils glissaient sur l’entrée soyeuse. Le bassin juvénile se berçait instinctivement au rythme des caresses envoûtantes. Les timides soupirs de la demoiselle muèrent en doux gémissements effrontés. Sa liqueur se répandait en longs filets continus. Le loup lécha ses babines avec gourmandise. Le Petit Chaperon Rouge découvrit ses crocs aiguisés. Elle se demanda s’il serait capable de la blesser, alors qu’elle ne rêvait que de douceur et de sensualité. – Oh Mère-grand, que vous avez de grandes dents ! – C’est pour mieux te manger mon enfant ! Le Loup ...
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