1. Le Petit Chaperon Rouge (1)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... commença à l’embrasser d’abord sur les joues, puis sur la bouche. Que c’était agréable, surtout cette langue qui occupait toute sa bouche ! – Oh Mère-grand, que vous avez une grande langue! – C’est pour mieux te lécher mon enfant ! Et la langue parcourut les moindres parcelles de ce corps qui se livrait et qui s’éveillait à des sensations inouïes. Le Petit Chaperon Rouge se tortillait de plaisir sous ses caresses brûlantes. Son esprit n’était plus qu’une coupe de champagne translucide, ses muscles ne répondaient plus, son pouls cognait à ses oreilles, son ventre se serrait, sa culotte se mouillait. Ses yeux aveugles ignoraient le prédateur qui jaillit des vêtements désuets de la douce mamie – le loup ! Ses crocs arrachèrent la petite culotte. Le Petit Chaperon Rouge poussa un petit cri surpris. L’excitation d’offrir son corps encore innocent l’envahit. L’animal pressa son museau affamé et curieux entre ses jambes ouvertes, humant, goûtant pressant de délicates insistances... et à chacune d’elle le beau corps s’engourdit, comme parcouru d’un bourdonnement électrique basse fréquence. – Ooooh ! Gémit la délicieuse demoiselle dans sa fièvre. Cette langue vint s’enfoncer profondément dans son sexe, lui apportant en cet endroit un plaisir qu’elle n’imaginait pas être possible. Les contractions régulières de son intimité la berçaient, l’apaisaient et la transportaient, irradiant de merveilleux chatouillements ses plantes de pied... L’intensité de ces sensations s’amplifiaient ...
    ... par vagues déferlantes jusqu’à un paroxysme qui laissait la demoiselle en pleurs, gémissante, haletante, sa peau ne supportant qu’avec peine un souffle d’air ou la caresse du drap. Autour d’elle, la modeste demeure de Mère-grand est devenue le château de la Belle au Bois Dormant, le temps s’est suspendu... une éternité... un instant... Le loup était ému par tant de générosité. Son regard parcourait sa proie, ses griffes aussi. Elles frôlaient ses longues jambes délicates, remontaient sur le pubis, la paroi tendre de son ventre, les dunes de ses seins doux et fermes, dessinaient un cercle autour des tétons dressés... Les griffes revenaient tranquillement jusqu’aux chevilles délicates... Le Petit Chaperon Rouge, tout d’abord apaisée par ce délicat ballet, sentit pourtant sa respiration se bloquer à chaque passage, des frissons courir le long de son épine dorsale. Son souffle se fit rauque et profond, elle soupirait et ondulait, comme rampant sur les draps froissés... Ses cuisses s’écartèrent, son bassin se tendit, la demoiselle était prête à lui offrir le meilleur d’elle... Le frottement du tissu sur ses reins et son dos ne fit qu’accentuer son trouble, la chaleur qui inondait son corps... L’appétit du terrible prédateur s’aiguisait à la vue du sexe ouvert, gonflé de désir, trempé de nectar. Le Petit Chaperon Rouge, intimidée par sa dangerosité dissimulée derrière sa patience, parcourut le corps du mâle du regard. – Oh Mère-grand, que vous est-il donc poussé au bas du ventre ? ...
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