1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (11)


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Ch11. Drôles de jeux. Papa remplit les flûtes, leva son verre ; nous bûmes une gorgée de champagne, et il reprit la conversation en s’adressant à Coco et Doudou : — Alors, ça vous tenterait de jouer avec nous ? — Peut-être n’ont-ils pas envie, tu sais ; et pour un début, c’est déjà pas mal, non ? dis-je. — Ah, mais si vous avez d’autres trucs à nous montrer, continua Colombe, on peut jouer encore un peu, d’autant que normalement demain papa vient nous chercher et qu’après la fête sera finie. — Très bien. Alors je vais vous montrer quelque chose de très intéressant, reprit mon père. Je voyais que les cousins mouraient d’envie de savoir ; je m’interrogeais et espérais que papa ne leur montrerait pas les vidéos. Il fallait que j’en aie le cœur net. — Papa, que veux-tu leur montrer ? Un film ? — Non, mon garçon, tu ne t’en doutes pas ? Viens, je vais te donner un indice. Je m’approchai de lui. Il me chuchota : — Nous pourrions leur montrer l’atelier. L’idée était géniale : transformer mes cousins en esclaves ; je me voyais déjà leur fouetter le cul, suspendus aux anneaux du plafond. Ah oui, quelle belle idée ! Je repris la parole pour les motiver : — Papa a raison ; il a un truc terrible à vous montrer. Je vous assure que vous allez aimer ! Allez, laissez-vous tenter. — Et c’est quoi, comme genre de truc terrible ? Parce qu’avec vous, il faut s’attendre à tout. — Surprise... ! — Bon, OK. Doudou, t’es OK ? Doudou acquiesça. — Alors on y va, conclut Coco. — Parfait. Alors ...
    ... suivez-moi tous les quatre, ordonna papa. Nous nous levâmes ; Justine et moi emboîtâmes le pas de nos cousins. Il ne manquait plus qu’une corde pour nous relier l’un à l’autre, et on aurait dit des esclaves allant aux travaux forcés ; maman fermait la marche. Je commençais à être sérieusement excité. Papa nous arrêta devant la porte de l’atelier, l’ouvrit et nous fit entrer dans la pièce ; nos cousins, le regard interrogatif, ne disaient rien. Puis il nous ordonna : — Placez-vous là, tous les quatre face au mur. Fermez les yeux, et mains à plat sur le mur. Nous nous exécutâmes. J’entendis des bruits de serrures, puis un masque me couvrit les yeux et des bracelets m’enserrèrent les poignets. Je commençais à être excité ; mon sexe gonflait doucement. Papa rompit le silence : — Vous aimez les jeux ? Alors vous allez pouvoir jouer ! Prenez ces deux-là et attachez-les là et comme ça. Je compris rapidement que nous n’étions pas tous dans la même situation et le sens du « là et comme ça » quand je sentis deux mains masculines me saisir par les poignets. Le claquement sec des mousquetons et le cliquetis du treuil m’ont vite indiqué que le cochon pendu au plafond, ce serait moi. Mes bras s’élevèrent tout seuls, mus par le treuil ; je me retrouvai ainsi suspendu au plafond. Je devais ressembler à un vulgaire cochon dans la chambre froide du charcutier ; imaginez le côté humiliant de la situation, le mec pendu par les bras et la bite à l’équerre devant tout le monde ! Cette position s’arrangea ...
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