1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (11)


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sensiblement quand je sentis un corps féminin se coller à moi ; je reconnus les tétons de Justine caresser les miens. Elle devait être dans la même posture que moi. Dans la pièce, pas un mot ; seulement quelques bruits de portes, de tiroirs, de tissu. En tendant l’oreille, je finis par percevoir quelques chuchotements incompréhensibles. — Que vont-ils nous faire ? ai-je chuchoté à Justine. — Je n’en sais rien, mais ça m’excite terriblement. Pas toi ? Nul besoin de lui répondre : j’avais la queue raide, coincée entre ses jambes, et elle prenait un malin plaisir à la serrer très fort et même à me la masturber par un mouvement du bassin. Une, puis deux mains me caressèrent les fesses et le dos ; je reconnus les mains de maman, douce et expertes. Brutalement elles s’abattirent sur mon humble postérieur avec un telle force que je fus plaqué contre Justine. Maman se mit à crier presque : — Alors, bande de petits vicieux, vous vous amusez avec vos cousins ? Ce n’est pas bien, ça ! Ils étaient chastes et vertueux à leur arrivée, et vous leur avez montré et fait des choses ignobles. Vous allez être punis pour vos méfaits ! Chaque mot était appuyé par une claque sur chacune de mes fesses qui commençaient à chauffer doucement. Je serrais les dents et encaissais, mais maman n’avait pas vraiment tort. Les claques cessèrent en même temps que la phrase. Après un court silence, maman reprit : — Coco, enlève leur bandeau et libère ta cousine. Une fois la vue retrouvée, je pus constater que ...
    ... mes cousins étaient libres de tout mouvement et se délectaient de la situation. Coco se dirigea vers Justine, la détacha, puis elles bondirent telle deux panthères sur Charly et lui passèrent des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Le pauvre cousin se retrouva attaché à l’établi, courbé en deux sur le ventre et bâillonné. La surprise était totale, et je commençais à avoir des inquiétudes sur le sort qu’elles pouvaient me réserver. Je vis alors ma sœur et ma cousine s’approcher de moi, un sourire aux lèvres et l’œil coquin. En un instant, je perdis l’usage de la vue et de la parole. Elles me détachèrent pour me conduire vers ce que j’ai reconnu être l’établi. J’y fus installé bien évidemment dans la même position que mon cousin : le trou du cul bien exposé et la bite sous le plateau de l’établi. J’ai attendu pendant je ne sais combien de temps. Je n’entendais que des bruits de portes et quelques chuchotements, puis on nous rendit la vue. Je découvris mes parents debout, les bras croisés dans un coin de la pièce et habillés de cuir. Ils portaient un string, et maman avait en plus un soutien-gorge en cuir noir également. Mais ce qui m’a fait flipper le plus, c’était les deux filles, un large sourire de satisfaction aux lèvres et les yeux remplis de gourmandise exhibant un énorme gode-ceinture à la taille ; je compris ce qui allait se passer. Maman donna les ordres : — Mes petites chéries, comme ces deux mâles en rut aiment enculer les filles, vous allez me faire le ...