1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (11)


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... gode forçait de plus en plus. Vu la pression, maman devait la pousser. Mon anus battit en retraite et laissa entrer l’objet. Transpirant encore plus, je criai dans mon bâillon « Oh, putain ! Ça fait mal ! » Je râlais, jurais, et je rebandais. Le braquemart s’enfonçait en moi, loin, très loin, jusqu’à ce que je sente le pubis de Coco contre mes fesses puis il recula et revint. Le mouvement de va-et-vient s’accéléra ; une main me saisit le sexe pour me branler avec force. Je haletais, j’avais mal au cul ! Je ne savais pas où j’étais : si, dans les nuages. J’allais m’évanouir... Je voulais savourer ce moment. Le va-et-vient continuait de plus belle ; la branlette aussi. Je sentais ma semence prête à jaillir ; j’eus beau me retenir et me contracter le plus possible, je fus brutalement envahi par un énorme orgasme et j’éjaculai. Je n’avais encore jamais connu pareil plaisir : c’était puissant, à la limite douloureux. Mais alors, quelle jouissance ! Mes dominatrices – on peut les appeler ça comme ça – ne lâchèrent pas prise. Comme j’étais toujours pilonné et masturbé, mon plaisir se transforma en véritable supplice. Visiblement, elles n’avaient pas l’intention de s’arrêter là. J’entendis un bruit sec de claques : certainement Charly qui se faisait rougir les fesses. Moi, je n’avais rien à craindre ; c’était déjà fait. Erreur, mon pauvre garçon ! La masturbation s’arrêta, le va-et-vient aussi. Le gode recula doucement et s’arrêta juste au bord de mon anus. C’est alors que s’abattit ...
    ... une volée de claques sur mon postérieur déjà endolori ; entre chaque claque, le gode venait me posséder à nouveau puis ressortait presque. Lorsque je fus enfin libéré de cet objet, j’avais le trou du cul béant et je sentais l’air entrer à l’intérieur de moi. Un doigt ganté revint, puis deux, puis trois. «Tu peux toujours y aller avec tes doigts ! » me dis-je. J’aurais dû la fermer car un quatrième doigt venait d’entrer. « Non, pas la main ! Elles ne vont quand même pas faire ça... » Eh bien, si : une main gantée me pénétrait l’anus. J’avais vu sur Internet des vidéos sur le fisting : des nanas mettaient une, voire deux mains dans le cul d’un mec ; je n’en croyais pas mes yeux et pensais que c’était un truquage. Mais là, c’était mon cul qui allait y croire... Mon trou fut encore une fois écartelé, et la main entra en entier puis tourna en moi. Une autre avait repris ma queue pour la branler ; elle reprit de la vigueur. Fisté par une main, branlé par une autre suffisamment petite pour être celle de Coco. Alors, la première... Maman ? Non ! Eh bien, si. Je ne sentais plus mon cul ni ma bite, en feu tous les deux, et j’éjaculai une fois de plus. Et cette branlette qui n’en finissait pas... Je vis Charly se tordre dans tous les sens ; a priori, il devait endurer les mêmes tortures que moi. Enfin on me libéra l’anus ; je n’osais pas penser dans quel état il devait être... Je n’en pouvais plus. Je restai là, attaché à l’établi, inerte et ruisselant de sueur. Coco en profita pour me ...