1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (12) : Philippe a enfin sa soirée candauliste


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Ils avaient fini par faire l’amour et pendant que Philippe baisait Rita il lui parlait de moi, lui disait qu’il aurait tant aimé nous voir nous aimer devant lui. Le comble était qu’alors que Philippe m’accordait une totale liberté, je ne pouvais m’empêcher d’être jalouse qu’il ait fait l’amour avec une autre femme, qui était ma maîtresse du moment et ce sans mon autorisation préalable. Et ce d’autant plus que Rita m’avoua qu’il « n’était pas un si mauvais amant que ça » et qu’il l’avait faite jouir. Voyant que j’étais furieuse, elle se justifia en disant que c’était un client comme un autre, puis elle tenta de me calmer en me disant que Philippe était fou de moi et n’avait qu’une seule chose en tête : mon plaisir. Cela ne m’a empêché de faire le soir même une terrible scène à Philippe. Il devait comprendre qu’il était à moi, il était ma propriété. Et de toute façon, Rachid mit un veto à ce que Philippe puisse, pour le moment, assister à mes ébats lesbiens avec Rita, car il fallait d’abord que Philippe ait sa séance candauliste avec moi et Rachid. De même, Rachid refusait formellement que Philippe puisse visionner les séances où il filmait de temps en temps nos parties de jambes en l’air. Rachid se comportait de façon sadique avec Philippe. Je plaidais la cause de mon mari, mais Rachid m’expliquait qu’il fallait le faire languir le plus possible, pour que ce moment qu’il attendait depuis si longtemps soit une récompense et une délivrance pour lui. « Il doit mériter ce grand ...
    ... moment » Le pire était que moi aussi je trouvais du plaisir à cette souffrance imposée à Philippe. J’étais partagée entre mon amour pour lui, mon envie de lui offrir ce qu’il désirait tant, et, en même temps une volonté de le dominer et de l’humilier. En présence de ses amis, de ses collègues de travail, je l’appelais « cocu » et ne cachais pas que j’étais désormais la femme d’un autre homme qui, lui, me donnait du plaisir. Rachid finit par accorder enfin à Philippe ce qu’il attend depuis si longtemps Philippe demanda à rencontrer Rachid. • Eh bien, le cocu, tu n’es pas satisfait ? Ce que tu cherchais à obtenir depuis des années, j’y suis parvenu à la première tentative. Tu avais raison, Olga est aussi belle que chaude. Je vais te dire la vérité : elle m’épuise. Mais tu dois être content : elle n’a jamais autant pris son pied de sa vie. • Je suis très satisfait et, chaque soir, je constate que tu n’as pas ménagé ta peine pendant la journée pour la satisfaire. • Je t’avais prévenu qu’elle serait à moi et que j’en ferai ce que je veux. Pas d’objection ? • Si c’est ce qu’elle veut et du moment qu’elle a du plaisir. • Je te répète que mon intention est de lui faire découvrir tous les plaisirs. J’ai lu récemment une histoire de Rome, où on parlait de Messaline. Ca te dit quelque chose ? • Oui, la femme de l’empereur Claude. Impératrice et putain • Et bien à côté d’Olga, Messaline sera une véritable vierge. Je ferai d’Olga une salope intégrale et toi le plus grand des cocus. Quant à ...
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