-
Lidl des jeunes
Datte: 13/10/2018, Catégories: Humour, Mature, Sexe Interracial,
... ces lieux et se faisaient impunément draguer. Je vis que je n'y couperais pas. Bientôt un mec m'aborda Il avait vu d'évidence que j'avais du mal à atteindre un article trop haut perché. Ce coquin avait du reluquer au-dessous de la jupe. Je portais string. Il avait pu savourer mes fesses. Aussi toute rouge reçus-je son compliment et sa proposition de récupérer l'article sur le rayonnage. Il se nommait Ahmed. Homme de charme manifestement et vieux beau sûre de son fait.Loin d'avoir été offusquée par la drague de cet homme, je découvrais qu'une part essentielle de ma personne avait été touché de son hommage. J'y trouvais une considération dont on m’avait privé ces dernières jours. Je trouvais bon qu'un immigré fit preuve d'humanité. J'enfreignais un tabou car mon mari était ostensiblement raciste et détestait ce genre. Il n'est pas impossible qu'une révolte m'anima quand je découvris avec surprise le beau Ahmed près de moi tandis que j’emplissais mon coffre. Je ne m'attendais pas à cet audace du dragueur.Il m’avait manifestement suivi. J'aurais pu, j'aurais du l'éconduire. J'acceptais pourtant de boire un verre avec lui. Nous nous mîmes au soleil à la terrasse de la cafétéria. Je goûtais le soleil mordorant mes épaules et la brise légère qui me caressait sous la jupe. En d'autres temps j'eus rougi des regards de cet homme sur mes cuisses. Il eût été vain de tirer sur ma jupe décidément trop courte. Je n'avais pas envie ce jour-là de faire ma prude. Le sexe m'avait été refusé ...
... depuis des mois. Un amant avait renoncé à moi depuis quelque temps. Il me fallait combler tous ces abandons.La drague fut grossière et je n'en affectais pas moins de rire et de sourire. Je protestais que je pus être encore jolie. J’avais pris depuis de coupables rondeurs. Ma peau par endroits était fripée. Bref je ne méritais pas qu'on s’intéressa à moi. Ahmed eût alors un regard explicite. Il y eût entre nous un long silence. Il rompit celui-ci par une brève parole. Quittant le vouvoiement il proféra : "J'ai mon camion peu loin. Çà te dit qu'on y aille ?" Je n'eus qu'un sourire d'acquiescement. Il était déjà trop tard. Je me hissais dans son grand bahut garé sur un parking peu loin.J'eus comme un frisson. On surplombait le quartier avoisinant. Qui plus est cette cabine conférait un sentiment de protection et d'impunité. On y pouvait faire des choses sans être vu. La main d'Ahmed parcourait mes cuisses et caressait ma culotte. Je vins à dévorer sa bouche. Je perçus d'emblée sa virilité. J'eus comme un sentiment de mépris à l’égard du mari que je n’avais jamais aimé et dont je voulais me venger. Je renouais enfin avec le plaisir de sucer un homme. J'avais souvent été louée de ce talent par mes amants. Ahmed avec la dernière brutalité me baisa. Cela finit par une saillie dans le cul.Ahmed crapahutait sur la région durant cette semaine. Il ne reviendrait de sitôt. Aussi tous ces jours tins-je à profiter de sa queue et de sa cabine. A heure précise nous baisions. S'y opéra comme une ...