1. Lidl des jeunes


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Humour, Mature, Sexe Interracial,

    ... révolution. Il y eût de ce jour un avant et un après. J'étais tout à fait entrée dans mon personnage de pute prolétaire. Ahmed eût été bien étonnée de savoir ma vraie vie bourgeoise. Je lui fis croire au contraire que mon mari était mécanicien dans un garage. J'affectais un langage négligé. Il me fallait renier mon ancienne classe et mes belles manières. Surtout j'y découvris la passion du sexe.Rien à voir avec mes anciennes relations adultères. Dans ce temps je recrutais mes amants dans mon milieu et mes relations de travail. Je baisais utile et à la fois y exprimait un certain snobisme et narcissisme. La jouissance sexuelle y étant presque secondaire. Cette fois l’encanaillement et le sentiment de m'abaisser ajoutait un insolite piment à l’acte. Je me découvris adepte du ruisseau. J'en eus confirmation peu après le départ d'Ahmed. Ce dernier m’avait assuré de repasser au plus vite. N'empêche je ne pouvais supporter de rester plusieurs jours ainsi. Mon appétit était avéré.Un jeune effronté me dragua au Lidl. Il était marocain. J’avais pris goût au type basané. En même temps je me réjouissais de punir de la sorte mon bonhomme. J'imaginais ma tête s'il eût su que sa femme forniquait avec des arabes. Cette fois je pompais ce jeune Chérif dans sa bagnole. Il était mignon et avait vingt ans. Je conçus trop tard et avec honte qu'il avait l'âge de mon fils. J'enfreignais ainsi un autre tabou. Je descendais chaque jour avec délectation les marches de l'ignominie. Chérif peu après ...
    ... me présenta à deux de ses amis. Ce fut orgie chez l'un d'eux.Tout une après-midi je dus satisfaire aux appétits de ces mâles hormonés. Ils riaient quand tour à tour ils m'éjaculaient sur le visage. J'en étais toute radieuse. Je n'étais pas la dernière salope qui vint ici s'offrir. Ils marquaient un certain mépris pour les gauloises en mon genre. Se targuant d'être bons musulmans ils me traitèrent alors de pute. Leur faisant le reproche de leur moralité bizarre nous nous quittâmes fâchés. Je n'étais pas mécontente de quitter ces voyous. Je n'en draguais pas moins un jeune homme le lendemain au Lidl.Il s’appelait Guillaume et était timide. Il apparaissait à présent que j'étais devenue une garce débauchant à tour de bras. Je me mis en tête d’adouber ce jeune home et de le déniaiser. il fut un peu mon amant patenté durant ces mois. Cependant j’avais envie souvent de sensations fortes et à son grand dam le trompait souvent avec de satanés cochons. Ceux-ci me repéraient dans les rayons et sachant ma réputation me proposaient sans vergogne de les suivre dans un coin ou dans leur voiture. Les petits vieux étaient les plus vicieux. Ma minijupe les excitait.Le vice eût le résultat bienheureux de m'apaiser et de me rendre femme de sang froid et plus cynique. Il advint que j'obtins enfin du succès à un de mes rendez-vous d'embauche. J’avais visé très haut ce jour-là. Mon âge eût du être un handicap. Il était manifeste que le cadre DRH choisirait plutôt une de ces jeunes mignonnes qui ...