La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 671)
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... skippers, eux aussi regardaient attentivement l’esclave MDE se dévergonder sans scrupule ni honte, se contentant d’obéir strictement. Etienne lui caressa les fesses, au moment même où le Maitre lui enfonçait des bouchons dans ses conduits auditifs, l’empêchant d’entendre le moindre bruit, le moindre son… Endymion MDE les voyait parler ensemble mais ne comprenait rien de leur conversation, il ne distinguait aucun son, mais comprenait qu’eux trois devaient parler de lui, de se moquer de lui, leur regard était d’une rare perversité. Ensuite, Le Maître lui glissait les mêmes bouchons dans les narines, l’obligeant à respirer par la bouche, et de la garder ouverte. Peu après Maximilien posait une cagoule de cuir sur son visage, l’empêchant de voir, le plongeant dans l’obscurité parfaite. Cette cagoule était maintenue attachée par des liens derrière son crâne. Les liens étaient tellement serrés que cette cagoule lui écrasait le nez, seule sa bouche restait dégagée. L’esclave MDE se sentait partir et plonger dans un isolement total, on venait de lui ôter la vue, l’ouïe, l’odorat, jusqu’où allait-on l’entrainer ? Il sentit qu’on l’attrapait par les bras, qu’on l’obligeait à se plier en deux, à poser son ventre sur un cousin moelleux, alors qu’il avait encore les pieds au sol. Des lanières de cuir entouraient ses cuisses, ces sangles en cuir lui maintenaient les jambes grandes ouvertes. Ses pieds étaient eux aussi entravés et ligotés, comme ses avant-bras et ses poignets. Un autre ...
... coussin était placé sous son menton, lui maintenant douloureusement la tête relevée, sa nuque en équerre. D’autres sangles bardaient son corps, lui tenant les reins arqués, lui faisant rebondir son cul. Il sentit encore qu’on lui glissait un objet froid dans l’anus, une sensation étrange surtout lorsqu’il se rendit compte que le dit objet s’écartait en lui, obligeant son trou à s’ouvrir largement. Ce spéculum l’élargissement, le dilatait grandement. Autre sensation étrange, lorsqu’on lui installa un écarteur de bouche, maintenant ses mâchoires crispées et grandes ouvertes… Puis plus rien, plus rien du tout ! L’esclave MDE était exposé, ses deux trous grands ouverts, tenu fermement attaché, sans comprendre pourquoi il se trouvait là, anéanti, affligé, dans l’inertie obligée, dans la contrainte la plus stricte. Il attendait patiemment et… bandait sauvagement ! Cette ignoble posture, totalement inhumaine, l’excitait au plus haut point. Alors qu’il était privé de la vue, il s’imaginait ainsi tenu et écartelé, offert, obligé et c’était bien cette vulnérabilité qui l’excitait le plus. Ce sentir n’être plus qu’un trou (et même deux trous !) à vide-couilles lui procurait une incroyable excitation autant physique que mentale. Il était exhibé, largement ouvert, pénétrable à souhait, réceptif et prêt pour la ou les saillies ! Il resta ainsi longtemps, très longtemps, jusqu’au moment, enfin, où une main lui caressa sa croupe. Elle eut un effet terrible sur sa bandaison, cette caresse l’avait ...