La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 671)
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... glissant sur sa langue. Ce doigt avait une saveur particulière, un gout de sperme évident. Il faut dire que le Maître, ce matin même lui avait copieusement dosé le fion, quoi de plus normal ! Son excitation redoublait, savoir qu’il goûtait au nectar du Maître le mettait en appétit. Alors qu’il était en train de se délecter de ces sucs intimes, subitement, il sentit une bite brûlante lui envahir l’arrière train, d’un seul coup net et profond sans prémices. Elle glissait sans peine profondément en lui. A qui pouvait appartenir ce chibre ? Cette queue lui semblait longue mais guère épaisse… Cette bite lui avait-elle déjà exploré le derrière ? A moins que son cul soit vraiment dilaté, à ne plus la reconnaitre. Etait-ce celle de Monsieur Henri, d’Etienne ou encore celle de Maximilien ? Une chose dont il savait, ce n’était pas la Noble Queue de Monsieur le Marquis, il en mettait sa tête à couper… Et ce doux minou qui venait de se coller sur ses lèvres, était-ce celui de Madame Marie, de Madame Gabriella ? Non ce ne pouvait pas être celui de Madame la cuisinière, car cette chatte qu’il dévorait maintenant à pleine bouche n’était pas totalement épilée, ce clitoris tendu semblait plus large et plus épais que celui de Madame Marie. Ce sexe ne pouvait qu’appartenir à Madame Gabriella, il ne l’avait jamais encore goutté… En fait, la femme se tenant cuisses écartées et sexe posé sur la bouche de l’esclave, était une femme d’affaire d’une grande entreprise américaine. Elle était grande, ...
... très élancée, un corps svelte et musclé, une poitrine généreuse, un fessier bien rebondi et ferme. Une femme à faire retourner un bon nombre d’hétéros en manque. La bite qui l’enfournait copieusement appartenait à un grand avocat italien de renommé international. Il était plutôt râblais, costaud, très poilu… Mais tout ça l’esclave MDE ne pouvait le savoir. Il se laissait ramoner le fion, tout en glissant sa langue dans cette cavité brulante et ruisselante, tout en bandant fermement à en avoir mal aux couilles… De nombreux voiliers et autres prestigieux yachts avaient jeté l’ancre près du Croix-Rousse, ils s’amalgamaient les uns aux autres. Les convives débarquaient au fur et à mesure et Monsieur le Marquis lui-même, accompagné de Madame Marie les accueillaient avec un savoir-faire et une élégance à toute épreuve. Tous semblaient plus ou moins se connaitre, s’étaient croisés lors de parties fines, alors sans hésité, et sans la moindre gène, ils se dénudaient entièrement et rapidement s’abandonnaient aux délices de la chair, entre eux, mais aussi et surtout avec l’esclave Endymion MDE de Monsieur le Marquis et la chienne femelle Estelle de Madame Gabriella et Monsieur Henri. Il était trop bon d’exploiter les trous de ces deux-là, totalement harnachés et offerts à souhaits. Endymion MDE avait enfin compris que ces bites le ramonant, tant la bouche que le cul, que ces mains le caressant ou le triturant, que ces vulves enflammées, ces clitoris échauffés, que ces foutres giclés sur ...