1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 671)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... transcendé. Était-ce parce que privé de trois de ses cinq sens qu’il percevait mieux encore ce contact tactile comme une arme de persuasion massive. Ce simple toucher inquisiteur lui avait apporté du plaisir mais pas que, une réceptivité émotionnelle bien différente qu’habituellement, une sensation de soumission plus exacerbée, une attractivité, une puissance Dominante. Était-ce la main du Maître ? Deux choses dont ne pouvait se douter l’esclave de Monsieur le Marquis. La première chose, à quelques pas de lui, soumise Estelle, avait été, elle aussi, installée dans la même posture que lui. Elle aussi avait été plongée dans le silence et dans le noir absolu, elle offrait sa croupe aux doux alizés. Sa chatte et son cul étaient encombrés par un spéculum et un gros plug, sa bouche était tenue largement écartée. Elle gémissait doucement, agréablement, visiblement se trouver dans cette position exhibée, l’excitait également, énormément. Ce petit vent chaud s’engouffrant dans sa chatte béante la faisait frissonner… La seconde chose était l’organisation de cette journée, préparée depuis plus de quarante-huit heures, dans le plus grand secret, avec grand soin, par Monsieur le Marquis lui-même aidée par les autres Dominants et les deux skippers. Et quelle organisation !… un gang bang sur le Croix-Rousse, une grosse partouze en pleine mer des Caraïbes ! Grace à un carnet d’adresse bien rempli, à internet, et à ses très nombreuses relations, Le Maître avait « recruté et sélectionné », ...
    ... amis et connaissances croisant ici ou habitant à plein temps ou temporairement sur ces iles somptueuses. Tous étaient des personnes honorables, souvent richissimes, avec des fonctions importantes : Médecins, avocats, hauts fonctionnaires de l’état, politiques et même un député ! Évidemment tous avaient répondu à l’invitation du Noble Maître, connaissant sa parfaite discrétion, sa bienséance et son savoir-vivre. Une trentaine de personnes étaient donc attendues ici, hommes et femmes allaient pouvoir se dévergonder, se débaucher sans retenue ni complexe et disposer à volonté, de la femelle soumise et de l’esclave mâle pour satisfaire leurs besoins sexuelles et bas instincts dans la dépravation la plus totale. Cette main caressante, n’était autre que celle du skipper Maximilien, mais ça, Endymion MDE ne pouvait pas le savoir ! Il sentit les mâchoires du spéculum se desserrer, on lui ôtait même l’engin de son cul. Tout lui laissait à penser que l’opération dilatation au grand air matinal était terminée, surtout que sa bouche, elle aussi, était libérée et débarrassée de ce contraignant écarteur. Un doigt glissait dans son cul, comme pour vérifier si la dilatation était bien suffisante. Ce doigt lui écartait son anus, imprimait des cercles en tirant sur ses sphincters. L’esclave se pâmait, son cul s’enfiévrait littéralement, il poussait des petits cris jouissifs à chaque fois que ce doigt s’enfonçait en lui. Le même doigt glissa peu après dans sa bouche, lui écartant les lèvres, ...