1. Le mariage de Marie-France


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou campagne, fête, noculotte, conte,

    ... son entrejambe. — Assieds-toi plutôt, ça sera plus facile. Elle posa donc ses fesses sur le rebord de la chaise. — Si tu n’écartes pas un peu plus tes jambes, je ne vais jamais y arriver, lui dis-je. Sans se faire prier elle les écarta, me dévoilant alors totalement sa pilosité. Je commençai à boutonner son body, effleurant sa toison, ce que bien sûr elle remarqua, mais sans rien dire. Je la regardai et lui dit le plus innocemment possible : — Écoute, je n’y arrive pas comme ça, écarte un peu plus. Elle posa alors son talon sur la chaise, ce qui m’offrit, en gros plan, une vue totale sur son sexe. Je glissais mon majeur sous son body, et à l’aide de mon pouce, refermais les boutons pression, mon doigt directement en contact avec son sexe. Je connaissais bien et ce contact et ce sexe, mais cela me fit comme un électrochoc, c’était doux et chaud à la fois. Elle sentit mon trouble, et par pure provocation sans doute, elle avança subrepticement son bassin, accentuant ainsi le toucher de mon majeur sur son sexe. Tout en continuant à boutonner son body, j’exerçais de petits mouvements avec mon doigt. Le dernier bouton fermé, je le retirais à grand regret et je le portais alors vers mes narines. Il était mouillé, et sentait bon ce mélange d’odeur si particulier de l’intimité de mes cousines, que je connaissais si bien. Martine me demanda : — Ça t’a plu ? Mais elle connaissait la réponse. — Je voudrais être à la place de ton copain, lui dis-je. Elle se contenta de me sourire mais ...
    ... je lus dans ses pensées que, comme moi, comme nous, elle regrettait déjà ce qui semblait appelé à devenir un souvenir que nous seuls, les quatre cousins, partagerions. Evelyne apparut disant : — Je suis prête. Nous étions prêts, nous allions donc aller marier Marie-France. Galant, mais avec l’arrière pensée que vous devinez, j’ouvris la porte arrière à Martine qui, s’asseyant, me demanda de vérifier que les pressions de son body n’avaient pas lâché. À l’œil tout paraissait normal, mais j’avançai ma main pour vérifier que rien n’avait lâché, glissant un doigt comme je l’avais fait plus tôt. Tout était parfait. — Si tu as un doute, plus tard, demande-moi. Puis j’ouvris la porte de ma cavalière, qui n’avait aucun souci avec son body, ni avec sa culotte, car je constatais, puisqu’elle me le montrait, relevant au plus haut sa jupe, que j’avais une vue totale sur son sexe, déjà légèrement ouvert. Puis je m’installais au volant, demandant à Evelyne, si elle voulait que je regarde la route, de recouvrir ce qu’elle exposait ainsi. Un doigt insinué en elle, et prestement présenté à mon nez puis à ma bouche : — Tiens, cousin, pour la route. Et elle retrouva une présentation plus décente. Quelle belle journée, et quelle émotion. Marie-France était mariée depuis quelques heures et nous faisions la fête, buvant, mangeant et dansant. Marie France vint me chercher pour un slow : — C’est toi tout à l’heure qui récupéreras, sous la table, la jarretière de la mariée. Elle glissa sa main dans ma ...