1. Le mariage de Marie-France


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou campagne, fête, noculotte, conte,

    ... Cette idée me plaît beaucoup, lui dis-je.— C’est la raison pour laquelle je t’en ai parlé, cher cousin, et si tu veux, je peux même te montrer l’effet produit. Joignant le geste à la parole, elle se baissa pour rattacher sa chaussure, tournant le dos à la fête et n’ayant que moi en face, elle ouvrit largement ses jambes, feignant de perdre l’équilibre. Ouah ! quelle vue ! Ce body dégrafé, ces poils humides, ce sexe ouvert ; c’était certes le mariage de Marie France, mais aussi ma fête à moi. — Il va tout de même falloir le refermer, je ne peux pas laisser découvrir ce désordre à mon copain. Je vais encore avoir besoin de toi. Elle avait expliqué à la mariée qu’elle avait un petit problème de sous-vêtement à résoudre, et celle-ci lui avait indiqué sa chambre nuptiale, au premier étage de l’hôtel où nous nous trouvions. — Va m’y attendre. Quelques minutes seulement s’écoulèrent avant l’arrivée de la sinistrée du body. Elle se laissa tomber sur le dos, sur le grand lit, releva très haut sa jupe, écarta ses jambes et me dit : — À toi de jouer, cousin.— Mais tu es toute mouillée, ma cousine, tu va abîmer ton body, constatai-je.— C’est toi et tes histoires qui m’ont mise dans cet état. À toi donc de réparer les dégâts. J’avais compris. Elle attendait que je lui prodigue les soins que je lui avais raconté avoir pratiqué sur la mariée. Je m’agenouillai donc au pied du lit, écartai de la main les poils, et plantai ma langue dans son sexe. Je crus qu’elle avait une violente douleur, ...
    ... tant sa réaction fut vive. — Je vais mourir, me dit-elle. Mais nous avions peu de temps. Je m’appliquai donc à sucer les poils humides, à lécher aussi profondément que possible, et je finis par arriver à ce qu’elle attendait et redoutait à la fois, son clitoris. Je le fis rouler du bout de ma langue, tant et si bien qu’elle atteignit, à une vitesse surprenante, un prodigieux orgasme qui la secoua des pieds à la tête pendant de longues secondes. Un dernier coup de langue pour tout nettoyer, et me voici fermant le body. Lorsqu’elle se releva, elle m’embrassa sur les deux joues : — Merci mon cousin, et bravo ; dommage qu’on ne se voit plus, me dit-elle, sortant précipitamment de la chambre et courant rejoindre son ami. De retour à la table, je revins m’asseoir près de Evelyne : — Je vous ai vu partir, avec Martine, me dit-elle, sans la moindre jalousie dans le ton, puisque cette valeur-là n’avait pas cours dans notre groupe, mais pleine de curiosité.— Elle avait encore un problème de body, lui répondis-je. Et je lui narrai, avec tous les détails, comme elle l’exigeait, mon entreprise, et le plaisir de Martine. Elle saisit alors ma main, la glissa sous sa jupe puisque, à table, personne ne pouvait nous voir, et la posa, puisqu’elle n’avait pas de culotte, dans sa toison. — Caresse-moi, cousin. Ce que je fis, avec plaisir bien sûr, lui parlant à l’oreille comme si de rien n’était, et la sentant se crisper, les deux coudes sur la table, les mains tenant sa tête. Son corps se mit à ...