1. Le mariage de Marie-France


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou campagne, fête, noculotte, conte,

    ... poche : — J’ai enlevé ma culotte pour que tu puisses me toucher quelques instants, comme tu l’as si souvent fait. Tu me la rendras ensuite, mon mari ne comprendrait pas que la mariée n’ait pas de culotte. Me voici donc sous la table, m’approchant de la mariée qui, assise sur l’extrême bord de sa chaise, me présente des jambes ouvertes au maximum, et un sexe totalement épilé. Quelle surprise ! moi qui la connaissais très poilue, à tel point qu’il fallait écarter les poils pour voir sa fente. Quelle surprise, mais quelle agréable surprise ! Et quelle vue ! Des bas, des jarretelles, et un bel abricot fendu, déjà juteux ! J’entendais la mariée interdisant à tous de me regarder, et pour cause ; elle attendait mes doigts. Je tendis la main mais me ravisai au dernier moment. Et j’approchai mon visage, langue tendue, léchant enfin ce sexe aimé, de bas en haut, une fois, deux fois, trois fois, tempêtant de n’avoir pas la langue plus longue pour entrer plus profondément en elle. Je savourais d’autant plus cet instant que c’était la première, et que je pensais aussi être la dernière fois que cette occasion m’était offerte. Heureusement que j’avais sa culotte pour m’essuyer, car elle coulait telle une fontaine. Je ne l’avais jamais connue ainsi ; sûrement le plaisir de l’interdit, à côté de son mari qui ne se doutait de rien. Mais j’étais là pour récupérer la jarretière. Et je ressortis de sous la table, doublement triomphant, la jarretière à la main et un goût exquis à la bouche. À la ...
    ... prochaine danse, je courus chercher la mariée : — Je n’ai pas reconnu tes doigts, mon cousin !— Tu ne m’avais pas prévenu de ce que j’allais découvrir, lui reprochai-je. Et tu n’as pas reconnu mes doigts, car mes doigts ne t’ont pas touchée, chère cousine. Elle me regarda avec de grands yeux surpris, mais cette attitude n’était-elle pas feinte ? C’est ma langue, cousine, qui a écarté tes lèvres, qui a bu ton jus, et qui a beaucoup regretté de n’être pas plus longue pour te fouiller, comme ce que j’ai vu l’aurait mérité. — Merci, murmura-t-elle à mon oreille, je savais que tu réagirais ainsi, et c’est ce que j’attendais. Elle me fit alors une grosse bise sur la joue, plongea sa main dans ma poche, et se dirigea vers les toilettes pour éponger tout ce que je n’avais pu lécher, et recouvrir le fruit qui me serait vraisemblablement désormais défendu. Où donc était passée ma cavalière ? — T’es-tu bien régalé ? me demanda-t-elle, me connaissant, et connaissant sa cousine. Je lui racontai alors, et avec tous les détails, ce qui s’était effectivement passé sous la table puisque, depuis toujours, nous ne nous cachions rien. Martine, de son côté, m’approcha dès que son copain la lâcha deux minutes, et vint également aux nouvelles. Elle avait parfaitement compris, elle aussi, qu’il s’était passé quelque chose sous la table, en plus de la recherche de la jarretière. — J’ai du aller aux toilettes, et je n’ai pas pu refermer mon body, mais je suis mieux ainsi, me dit-elle très innocemment.— ...