1. Le pain du ménage


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, extracon, piscine, fsoumise, jalousie, vidéox, entreseins, Oral pénétratio, init, initfh, extraconj,

    — Julia, voulez-vous prendre pour époux Fabien ?— Oui. Je le veux. Ayant prononcé ces quatre mots, je me retrouve mariée. J’ai 20 ans et je suis vierge. Je me crois amoureuse de Fabien, de cinq ans mon aîné ; cependant je n’ai aucune connaissance de ce qu’est aimer une personne. La nuit de noces n’a été ni bonne ni mauvaise, comme la plupart, je pense. Nous sommes, Fabien et moi épuisés, tant et si bien que quelques caresses, quelques baisers et nous tombons, non dans les bras l’un de l’autre, mais dans ceux de Morphée. À l’issue de ma première nuit de femme mariée, je suis toujours vierge. Cela ne dure pas longtemps. Je ne veux pas garder ce pucelage, et mon mari veut rattraper le temps perdu dès la seconde nuit matrimoniale. Il n’a aucun égard pour ma pudeur, m’arrachant mes vêtements. Je me retrouve nue et sans défense devant une personne que je ne connais pas. Ce n’est plus le Fabien que j’aimais. Il s’est mué en un mâle en rut. Il malaxe mes seins avec vigueur et sans précaution, en pince les pointes à me faire mal, puis sa main s’insinue vers mon sexe. Comme je serre les jambes, il les écarte avec force et prend possession de ma vulve en ouvrant mes lèvres intimes avec ses doigts. Sans plus d’égard, il s’enfonce en moi avec sa queue tendue et brise mon hymen. Je pousse un cri sous le coup de la douleur. — Voilà une bonne chose de faite, ma chérie. À présent, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Les choses sérieuses, comme il dit, sont pour moi une source de ...
    ... tourments. Cependant, comme dans mon éducation catholique on m’a bien dit « Tu dois te soumettre à la volonté de ton époux », je me soumets. Pourtant, je suis bien consciente qu’une bonne partie des pratiques sexuelles de Fabien ne sont pas « homologuées » par l’Église apostolique et romaine. Depuis, je me suis dit, qui sont-ils ses gens (hommes) d’Église qui nous dictent notre vie intime alors qu’ils ne connaissent rien ni à la vie du couple, ni à la sexualité dans chambres à coucher ? Je dois donc sucer son sexe, le prendre entre mes seins, me laisser peloter les nichons, trifouiller la chatte, exciter le clitoris, lécher la vulve, pénétrer le vagin. Je n’y prends aucun plaisir. La répugnance de certains de ses actes se mue en habitude, même si le dégoût reste vif. Lorsque son sexe se présente devant mes lèvres, j’ai un sentiment d’abaissement ; et lorsqu’il regarde avec attention ma moule, c’est l’humiliation qui me submerge. Son sexe en moi ne m’apporte rien. Je le sens, mais ne vois pas d’où peut venir la jouissance dont parlent certaines femmes. Je ne suis ni clitoridienne, ni vaginale. Les paroles qu’il éructe ne font rien pour atténuer mes afflictions et mon malaise : — Ah, ma salope, tu vas la sentir ma queue dans ton con ! Oh, tu la sens sale pute… Oh, t’es une chienne quand je te prends par derrière, hein ! T’aimes, hein, catin ? Le chapelet d’injures qu’il me débite durant l’acte est inépuisable. Le pire, c’est lorsqu’il veut me sodomiser. Il y parvient après plusieurs ...
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