1. Le pain du ménage


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, extracon, piscine, fsoumise, jalousie, vidéox, entreseins, Oral pénétratio, init, initfh, extraconj,

    ... échecs, et pour moi de terribles souffrances, tant physiques que psychologiques. Physiques : on comprend aisément pourquoi. Psychologiques : car je me demande comment cet homme peut dire qu’il m’aime (car il le dit) alors qu’il trouve plaisir à me faire souffrir et à m’humilier. Afin de contenter mon mari qui trouve que je ne jouis pas assez sous ses assauts, je me mets à simuler le plaisir dans l’acte sexuel. Pour cela j’imite les actrices pornos qui se font prendre de partout dans les films qu’il m’ordonne de regarder avec lui. Les deux grands plaisirs que j’ai, ce sont les naissances de mes deux fils. Le premier est né dix mois après notre mariage, le second trois ans plus tard. J’ai le bonheur d’être mère. C’est magnifique de porter un enfant pendant neuf mois, le mettre au monde, puis l’allaiter encore quelques mois. J’ai un contentement supplémentaire puisque mon mari, à partir du troisième mois de grossesse jusqu’au sevrage ne me touche plus. Mais c’est tout à fait secondaire. *** Cela fait 18 ans que je suis mariée avec Fabien ; j’ai 38 ans, lui en a 43. Mon fils aîné a 17 ans, et le second 14. Je suis une mère de famille responsable et sérieuse, toujours soumise aux caprices de mon époux. Je n’ai jamais pensé à le quitter. Je me dis« Que ferais-je sans homme à la maison ? Mes fils ont besoin de leur père. » Et puis il y a eu ce jour de juin. Je rentre à la maison. Je me dirige vers notre chambre pour me changer, et c’est en traversant le couloir que j’entends du ...
    ... bruit qui parvient de la chambre d’amis. Intriguée, j’ouvre la porte. C’est un choc : mon mari nu, le sexe dressé devant le visage de Murielle, une amie, tout aussi nue que lui à l’exception d’un porte-jarretelles. — Merde, dit-elle en lâchant la queue raide de mon mari.— Oh, toi, dit-il bêtement.— Oui, c’est moi ! Toi la pute, tu dégages. Je la prends par le colbac d’une main, je la gifle de l’autre. Elle tombe sur le sol. Ne lui laissant pas le temps de se relever, je la traîne jusqu’à l’extérieur de l’appartement. — Mais voyons, s’exclame mon mari, Julia… Je claque la porte, laissant Murielle nue dans la cage d’escalier. Mon mari reste sur le lit, la queue pendante. Il me dit : — Donne-lui ses vêtements tout de même. Trop bonne (on peut remplacer le « b » par un « c »), je ramasse les fripes de cette fille que je prenais pour une copine et je les jette sur le palier où elle est comme une idiote, tentant de cacher avec ses mains sa nudité à un public inexistant. Je retourne vers mon mari qui a noué une serviette autour de la taille pour faire disparaître sa nudité. — Comment tu as pu me faire ça ?— Julia, ma chérie, c’était la première fois.— Je ne te crois pas. Je suis persuadée que tu baises depuis un bon moment avec elle.— C’est fini, je ne la reverrai plus, je te le promets.— Pourquoi tu baises avec elle ? Qu’est-ce qu’elle a de plus que moi, sinon un pétard énorme et des nichons qui débordent de partout, et qui pendouillent, d’ailleurs ?— Non, tu es plus belle qu’elle.— Ou ...
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