1. Le pain du ménage


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, extracon, piscine, fsoumise, jalousie, vidéox, entreseins, Oral pénétratio, init, initfh, extraconj,

    ... emprisonnés ainsi continuellement.— Je ne vais tout de même pas me mettre à poil, ici en pleine nature.— Pourquoi pas ? Nous sommes seuls. Tu sais ce que dit un proverbe africain : « Ceux qui s’aiment ne cachent pas leur nudité. »— Des gens peuvent venir.— Qui veux-tu qui vienne ? À part des moutons ou des vaches, je ne vois pas. Tiens, moi je n’ai pas peur : je me mets à poil. Il retire ses vêtements : short, caleçon, chaussettes. Il est aussi nu qu’à sa naissance, à l’exception qu’il bande. Je dois avouer que l’homme qui j’ai épousé est beau. C’est d’ailleurs cette beauté qui m’a séduite chez lui, bien qu’avant le mariage je ne l’aie vu qu’habillé. Je n’ai pas le temps de réagir, car il est sur moi et dégrafe mon soutien-gorge, libérant ma poitrine. Il s’en empare, me lèche les pointes, malaxe la chair, la mordille. Ces caresses me font de l’effet immédiatement. C’est si rare que, malgré la crainte que nous soyons découverts, je le laisse faire. Il n’est pas long à s’attaquer à mon short qui se retrouve avec la culotte à mes pieds. Mon corps est tout chaud, et dans mon ventre, c’est comme des papillons qui s’agitent. Fabien caresse mes cuisses. Il me regarde dans les yeux pour guetter le trouble qui s’insinue en moi. Je saisis sa queue. — Tu vois comme je bande pour toi.— J’aime ta queue, dis-je presque mécaniquement, sachant qu’il aime que je flatte son anatomie. Il remonte sa main vers mon sexe, me caresse doucement. Lorsqu’il s’y prend ainsi, je peux éprouver du ...
    ... plaisir, aussi j’écarte les jambes. Il passe sa langue sur les pourtours de ma vulve, à l’intérieur de mon coquillage, et lorsqu’il s’empare de mon clitoris, je ne peux retenir un feulement.« Pourquoi ne s’y prend-il jamais de cette façon pour me faire l’amour ? Il est pourtant capable de me donner du plaisir. » Il me doigte, me frotte, et comme je continue à gémir, il introduit un ou deux doigts dans mon sexe. Je sens qu’il les fait tournoyer en moi. — Oh, ma salope, dit-il d’un air salace qui casse l’ambiance, on dirait que ça te fait de l’effet de baiser en pleine nature ; tu mouilles comme une chienne en chaleur. T’es une sacrée garce ! C’est alors qu’il arrête d’être doux et tendre. Il me saute sans ménagement, me secoue comme un vulgaire morceau de viande. Même mon boucher est plus délicat avec ses gigots. Il me pistonne avec violence. Je suis son objet. Heureusement, cela ne dure pas longtemps : il éjacule en moi, se laisse tomber sur le flanc et s’endort, tel un gros beauf. Moi, couchée sur le dos, totalement nue, offerte, je pleure silencieusement. Je ne me soucie même plus de la possible apparition de voyeurs, alors que j’ai les jambes ouvertes et que du sperme s’écoule de mon vagin tuméfié. Le lendemain, je le laisse partir seul pour marcher dans la montagne. Je n’ai pas le cœur à l’accompagner et me faire une nouvelle fois baiser comme une « gourgandine », comme il dit parfois gentiment avant de me traiter de « pute » et de « chienne ». — Cet après-midi, lui dis-je pour ...
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