1. Manu s'invite (4) (1)


    Datte: 16/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Ce projet de déplacement de Nantes à Bordeaux m’incite à enregistrer mon nouveau véhicule sur Blablacar. Je n’ai pas trop d’illusions quant au résultat, sachant que neuf fois sur dix, je finis par voyager seul. Les covoitureurs semblent de plus en plus exigeants. Pour beaucoup, le chauffeur devrait souvent se plier à toutes leurs exigences, tant sur les horaires que sur l’itinéraire. Je suis peut-être né trop tôt pour vivre le collaboratif tel qu’il se présente. Je ne négocie jamais rien, c’est à prendre ou à laisser. À ma grande surprise, le premier contact ne tarde pas à se manifester et me demande d’avancer l’heure du départ de trente minutes pour répondre à une obligation professionnelle en début de soirée. Je lui explique l’impossibilité de me soumettre à son impératif et nous en restons là. Mon alarme SMS « garden bell» m’avise d’un nouveau message. Tiens ! C’est Manu : « J’ai vu sur BLABLA que tu pars vers 18 h pour Brdx, tu as encore une place « For Me »? » Je lui réponds non sans plaisir : « OK, je peux te prendre au premier rond-point du Square Elisa-Mercoeur à 18 heures pétantes ». Elle valide aussitôt. Manu est la meilleure copine de ma belle-fille Angèle et nous nous connaissons plutôt intimement depuis qu’elle est devenue une partenaire intermittente des jeux libertins organisés « at home » par Aline, ma compagne. Nous manifestons, à l’occasion de ces moments trop rares, beaucoup d’intérêt l’un pour l’autre. Cette soirée de novembre est bien triste à Nantes ...
    ... et le crachin persistant ne lui apporte rien de très glamour. N’échappant pas aux bouchons de fin de journée, au sortir de la rue de Strasbourg, je scrute fébrilement le trottoir de droite pour ne pas rater ma passagère. Je l’aperçois d’assez loin dans son ciré rouge surhaussé d’un parapluie jaune. Prévoyante, Manu fait le planton sur une place de stationnement qu’elle garde à mon attention. Je me gare et elle dépose vite fait sa valise noire dans le coffre avant d’entrer prestement dans l’habitacle de l’Audi, se calant à ma droite sans même s’égoutter. Au bout de quelques contorsions acrobatiques, elle parvient à s’extraire du ciré et à balancer son pébroque jaune sur le siège arrière. Manu pousse un long soupir de soulagement et me claque une énorme bise sur la joue. — Tu aurais pu te raser, ça n’aurait pas été du luxe ! Me taquine-t-elle d’entrée, en glissant sa main sur ma cuisse en direction de ma queue. — Ne commence pas, je suis d’une humeur massacrante, je meurs de faim et je n’ai fait aucune provision pour ce soir. Nous allons devoir nous arrêter à la première occasion sur l’autoroute pour faire le plein et nous requinquer. — Ça va, arrête de grogner, laisse-moi te détendre dit-elle en se glissant au creux de mes cuisses, face à mon bas-ventre, dans le faible espace que lui laisse le volant. Je sens aussitôt la chaleur de sa tête diffuser au niveau de mon bassin une douceur bienvenue, et sa main gauche trifouiller vers ma braguette. Je ne bande pas et c’est une ...
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