1. Manu s'invite (4) (1)


    Datte: 16/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... L’instant suivant, la cabine s’ouvre et loin d’être surprise, Manu attrape le gaillard par un bras et l’attire dans l’antre. J’en suis sur le cul. Je lui gueule carrément dessus quand, au bout d’un quart d’heure elle revient dans la voiture complètement ébouriffée. — Ça ne va pas ? Tu n’es pas bien ? Tu te comportes comme une vraie salope ce soir, tu me dégoûtes ! — Putain, il m’a démonté la chatte, je n’en reviens pas ! — Mets ta ceinture, on y va maintenant... Au moment où je m’apprête à passer la marche arrière, j’entends frapper à la vitre, côté Manu, laquelle n’hésite pas à débloquer aussitôt la porte. Et j’entends : jyjssgc — Tu as fait beaucoup de bien à mes copains ce soir, il te resterait une gâterie pour leur grand frère ? demande le troisième gars, la bite à la main. — Vite fait alors, lui lance-t-elle en pivotant sur ses fesses et en tendant déjà le cou. Je n’en crois pas mes yeux. Le gars prend alors appui des deux coudes, l’un sur la portière, l’autre sur le toit de l’Audi et attend l’officiante comme une évidence, avec l’aisance du gars qui viendrait juste chopiner une bière au bistrot du coin. Je coupe le moteur. Manu saisit la paire de couilles déjà dégagées de la braguette, les bouscule un peu de sa petite main, au point que le zob bien décalotté remonte aussitôt pour se tendre au droit. De l’autre, elle empoigne adroitement la tige et entame un va-et-vient délicat, d’abord en revenant régulièrement sur le gland et parfois en frappant le pubis et en ...
    ... tirant, à le faire péter, le frein du prépuce. Sa position inconfortable ne donne pas l’avantage à Manu et au bout de dix minutes, elle sent la fatigue gagner son poignet. Espérant sûrement accélérer l’affaire pour en précipiter la conclusion, elle embouche l’objet en forçant malgré tout sa mâchoire étroite. Pour ce faire, elle a dû se mettre à genoux sur le siège passager et me tourner le dos en exposant ses fesses qui ne me laissent jamais insensible. Du coup, je ne vois plus rien de cette pipe sauvage. Comme souvent, son cul me rend fou et dans l’impossibilité de la foutre dans cette position, je me contente de la doigter pendant qu’elle tète avec gourmandise cet énorme concombre de chair. Sa cramouille sent le sperme à en vomir, elle est encore humide des deux giclées d’avant, mes doigts la fouillent sans obstacle et je dois dire qu’elle y met du sien pour faciliter la pénétration. La bite du pompé est tellement longue que pour l’engloutir, elle doit bouger tout son corps d’avant en arrière. Je la laisse manœuvrer, elle semble savourer les deux doigts que je lui glisse dans la moule. A un moment elle reprend son souffle et me lance : — Plus au fond, Jean-Christophe, vieux salaud, bourre tes doigts, fourre ton pouce dans mon cul, je vais jouir... Trouvant sur place et sans difficulté de quoi lubrifier l’orifice, je pose mon pouce sur sa rosette, laquelle, d’elle-même, s’entrouvre et m’aspire. Au même moment, je sens le corps de Manu pris d’un tremblement et d’un haut-le-cœur ...