1. Manu s'invite (4) (1)


    Datte: 16/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... petites fesses de Manu toute retroussée d’un gourdin de combat. Une bite de ce gabarit, c’est rare, parole de connaisseur ! La vulve de la petite est boursouflée de tension et à chaque poussée elle rugit telle une jeune lionne. Il la besogne en profondeur, inspiré je pense par un précédent visionnage sur « Youporn ». Son visage de cow-boy mal rasé ne reflète ni joie ni crainte. Il m’a entendu bien sûr, mais ça ne le dérange pas. Cette petite salope m’aperçoit dans le reflet du miroir face à elle et me grimace un sourire en passant sa langue sur ses lèvres pour me signifier qu’elle déguste et qu’elle apprécie grandement. Loin de vouloir interrompre cette partie de plaisir, je me satisfais du spectacle en retrouvant mon érection de tout à l’heure et en me branlant derrière la porte entrouverte. Les emballements de Manu laissent penser qu’elle veut en finir, elle agite vigoureusement son petit cul blanc jusqu’à joindre, du derrière de ses cuisses, les couilles de l’étalon velu et à sa manière de soudain rester bloqué, je comprends qu’il s’apprête à envoyer la pression. Il se lâche et sa femelle doit bien sentir couler l’ondée chaude puisqu’elle aussi se cambre d’un coup, la bouche béante, en expulsant un râle de plaisir. Cette vision me provoque simultanément une éjaculation soudaine qui part sur le bas du mur et le carrelage. Je laisse les endiablés à leur extase et regagne la salle de restaurant. Je suis à peine retourné devant mon café refroidi que Manu me rejoint : — ...
    ... Putain, fait chier, les toilettes des femmes sont fermées pour maintenance et j’étais au point de me pisser dessus. — Tu as donc tenté celles des hommes ? Je lui demande. — J’ai essayé, mais le mec d’à côté est entré et m’a bloquée aussitôt contre le mur en me baladant les mains partout. Comme je me suis un peu débattue, il m’a lâchée en rigolant comme un fou. — Un peu... Seulement ? — Bah... Il est beau mec quand même ! J’ai fait mon petit pipi et quand j’étais au lavabo, il a sorti son machin et l’a posé sur la faïence, et là... Et là ! Eh bien, je n’ai pas pu résister ! Je me suis laissé embarquer dans la pièce des douches, c’est tout. Y a pas de mal à ça, tu as vu la taille ! s’exclame-t-elle, tellement fort que les gars l’ont entendue. Putain, je coule de partout, je n’ai même pas pris le temps de m’essuyer, continue-t-elle. Je reste coi. — Eh ! J’ai bien vu que tu te branlais, lâche-t-elle, mutine. Sans tenir compte de cette dernière remarque, je poursuis : — Bon si tu patientes un peu, l’aire d’Auzay n’est qu’à vingt minutes, tu y seras plus tranquille pour te nettoyer un peu. On y va, dis-je en me levant. AUZAY-OUEST 2000 m. Nous y voilà. Je me gare au plus près des toilettes et Manu y court sans attendre. A peine deux minutes passées, une Mercédès grise vient se poser sur ma gauche et je reconnais aussitôt les trois gaillards du Restauroute. Le plus âgé sort nonchalamment pour se poster en tirant sur sa cigarette devant la porte que la pisseuse vient juste de clore. ...