Cendrillon, souvenir de Corse
Datte: 16/10/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couple,
extracon,
profélève,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
... tremblements deviennent plus irréguliers, où apparaissent les premières convulsions, ce moment magique où l’homme perd toute maîtrise de son corps, juste avant l’éruption, juste avant l’explosion libératrice. Je vois le visage de Silvio se crisper, son regard se perdre dans le brouillard, son bassin se soulever… Tout à coup, c’est la délivrance : une crème blanchâtre et épaisse surgit, arrose ma main et fertilise le sable, cinq longues giclées de jeunesse et de ferveur. Il sourit en me regardant et que fais-je ? J’ai honte, mais je porte mes doigts pleins de cette semence à ma bouche, je déguste sous ses yeux éperdus toute l’âcre saveur du sperme d’un autre homme que mon mari, qui m’attend là-bas, et même d’un autre homme que Christian, que mon mari m’avait pourtant promis. Est-ce que je suis en train de devenir une catin, une allumeuse, une femme facile, une femme perdue ? Silvio me regarde, content sans doute de ce bon tour qu’il vient de jouer à ses amis, à tous ces autres types qui se sont ris de ses airs féminins… Et moi aussi je suis presque fière d’avoir «vengé» mon amoureux délicat de ces petites humiliations, et je me sens encore émue, encore humide, de nos étreintes. Je ne peux m’empêcher de poser mes lèvres sur les siennes. Ma langue s’enfonce dans sa bouche comme un petit sexe d’homme, Silvio éprouve peut-être pour la première fois la saveur de sa propre semence dans ma bouche, et ce baiser nous laisse haletants. Ayant repris mes esprits, je décide de lui faire ...
... un dernier petit « cadeau », un ultime souvenir. Je me lève, me dénude complètement, et ôte devant lui le sable de ma peau… Ses yeux fixent mon abricot, mes fesses, mes jambes, et j’ose un geste inouï : je m’accroupis devant lui et lui expose mon intimité, que je sais humide et ouverte… Il tend la main, je me dérobe et, tentant de dissimuler le trouble qui me trahit, je lui lance : « Allez, on va chercher les sandwichs », en me rhabillant prestement. Nous n’échangeons plus un mot jusqu’au retour. * Lorsque nous rejoignons nos sportifs, j’ai droit aux commentaires secs de Philippe : « Alors, vous en avez mis du temps, les deux tourtereaux…Vous vous êtes perdus dans les dunes ? » Je ne relève pas la perfidie de la remarque de mon mari, et déploie sur un paréo les sandwichs et pans bagnat que nous avons ramenés. L’appétit de « mes » hommes fait plaisir à voir, et ils sont tous excités car ils ont gagné un match improvisé contre des Allemands rencontrés sur la plage. J’évite cependant soigneusement de croiser le regard de Silvio, et me rends compte que Philippe, lui, me regarde un peu bizarrement. Une fois les hommes rassasiés et la table improvisée rangée, je décide d’aller nager un peu, car mon aventure avec Silvio m’a laissé un peu tendue. Je nage vers le large, et savoure la caresse de l’eau sur mon corps. Une fois atteinte les limites de la zone de baignade, je fais la planche, j’adore ça… Tout d’un coup, je sens deux mains qui agrippent mes hanches, et j’avale une gorgée ...