1. Cendrillon, souvenir de Corse


    Datte: 16/10/2018, Catégories: fhh, fplusag, couple, extracon, profélève, vacances, plage, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init,

    ... dardé contre mon ventre. Mon cœur se met soudainement à battre plus fort. La main de Silvio glisse vers mon minou et ses lèvres cherchent les miennes. « Non, je t’en prie, Silvio, arrête, tu sais que je suis mariée, que va dire Philippe ? » J’essaie de le repousser et parviens à me dégager un peu. « Nathalie, je veux vous faire l’amour », me glisse-t-il à l’oreille, et ce souffle fait courir sur ma peau un long frisson. « Je vous désire Nathalie, j’ai envie de vous… ».Il me saisit la main, la glisse dans son short de bain, et tout à coup ma main, comme mue par un désir que j’ignorais, se met à palper le membre dur et dilaté du jeune homme. Qu’est-ce que je fais, que me faut-il faire ? Qu’est-ce que je suis en train de devenir ? Tout à l’heure cette envie de dévorer le sexe de Christian, et quelques heures plus tard me voici à mesurer, bouleversée, l’effet que je produis sur un adolescent fougueux, amoureux. Tous mes repères se brouillent. Son regard est touchant et je me dis que je ne peux quand même pas lui en vouloir de réagir comme un garçon normal… Mes doigts se resserrent sur son sexe, le caressent, le palpent, en éprouvent la dureté, mais puisant au plus profond de moi mes dernières résistances, je lui souffle : « Pas l’amour, Silvio, pas l’amour… » S’il avait voulu me « forcer », sans doute aurais-je fini par tout lui céder, tant il était beau, émouvant, tremblant de désir. Mais il se dégagea, me libéra un peu, et j’en profitai pour m’asseoir à côté de lui. Mais ...
    ... je ne pouvais pas le laisser dans cet état ; nous avions été trop loin pour en rester là. Je m’assieds à côté de lui, main sur son maillot, et le caresse doucement. J’ai encore envie de toucher son sexe, de ressentir sur lui la magie de mes caresses. Silvio fait glisser les bretelles de ma robe, dégage mon buste, et aspire goulûment un de mes seins. Il est attendrissant, comme un enfant qui étanche sa soif… Je dégage son membre hors de son maillot. Il est très fin, comme lui, avec un étrange coude au bout. Je dégage ses bourses, il se soulève et lève entièrement son maillot. Une main autour de sa taille, je fais lentement coulisser sa peau. Elle est si douce… Mes doigts courent de ses bourses jusqu’à l’extrémité de son gland, devenu luisant. Je sens son désir qui monte, qui monte… Silvio est trop jeune et inexpérimenté pour résister longtemps à pareil traitement de faveur. Il a abandonné mon sein, le laissant tout humide. Son souffle s’accélère, il ferme les yeux, il n’a jamais été aussi beau… Il s’abandonne aux caresses de mes doigts, il offre sa queue jeune et vigoureuse à la douceur de ma main… Je connais l’issue de ces caresses, et loin de m’en effrayer, je la désire avec une volupté où se mêle une forme de curiosité. Je suis à la fois celle qui agit, prise dans une émotion inédite, et celle qui observe avec délice, et presque avec attendrissement, les frémissements d’un corps de dix-huit ans à deux doigts de l’extase. J’aime sentir ce moment très particulier où les ...
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