1. Cendrillon, souvenir de Corse


    Datte: 16/10/2018, Catégories: fhh, fplusag, couple, extracon, profélève, vacances, plage, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init,

    ... déjà parlé de vous ». En un tournemain, voilà les deux compères en short de bain. Je me maudis d’avoir fait la coquette, et d’avoir mis cette petite culotte de dentelle plutôt que mon maillot, car, dans ce contexte, je n’étais guère encline à me livrer au cérémonial de l’enfilage du maillot derrière la serviette… Philippe serait bien capable de la faire choir à nouveau au pire moment ! Comme il arrive souvent quand je me mets à avoir de drôles d’idées, mon mari me railla : « Allez, Nath, tu nous fais bien languir ce matin ! A moins que tu veuilles te baigner en robe ou entièrement nue, enfile ton maillot et viens avec nous ! » Il me tendit la fameuse serviette, et, tout en jetant par-dessus un regard attentif à mon effeuillage, me protégea du regard des autres en me lançant : « Eh bien, chérie, tu étais moins pudique, ce matin, dans la salle de bain, avec Christian ! », ce qui fit sourire ce dernier et s’interroger les trois ados… Qu’allaient-ils imaginer maintenant ? Je pestai intérieurement contre l’indélicatesse de mon mari, et ne savais quelle attitude prendre pour paraître naturelle. Évidemment, je commis ma première imprudence. Moi qui, depuis plusieurs jours, m’étais mise au monokini, je tentai, prise d’un accès de pudeur intempestif, de saisir dans mon sac de plage mon soutien-gorge de maillot. Dans ce contexte un peu torride, c’était, si j’ose dire, donner à mon mari des verges pour me battre… Dès qu’il s’aperçut de mon intention, Philippe baissa la serviette ...
    ... derrière laquelle je tentais d’agrafer le soutien-gorge. « Madame La Pudeur a une nouvelle crise, aujourd’hui », lança-t-il à la ronde, déclenchant des éclats de rire… « Tout le monde les connaît, et les apprécie, tes lolos, laisse les donc à l’air libre », poursuivit-il en tirant vers le bas mes bonnets sans même défaire la fermeture. Vaincue, rougissante, je me laissai dépouiller, sentant tomber quatre paires d’yeux sur ma lourde poitrine nue… L’incident passé, la matinée s’écoula tranquillement. Alternance de baignades, de bronzage et, pour «mes» hommes, de parties de foot, auxquelles je constatai cependant que le beau Silvio, fragile, délicat, n’aimait guère participer. Finalement, il abandonna la partie et vint s’étendre à côté de moi, sensiblement plus près que de coutume. Je regardai le jeune garçon du coin de l’œil, son beau visage, cerné de longs cheveux noirs, ses épaules un peu frêles, son ventre plat. Mon regard s’attarda sur son torse, aussi imberbe que celui de Christian, descendit vers son bas-ventre, s’appesantissant, aussi discrètement que possible, sur le renflement que dessinaient ses attributs sous son slip de bain. C’est vrai que la beauté androgyne de Silvio avait quelque chose d’irrésistible, et je me sentis tout à coup étrangement disposée à toutes les indulgences envers les fantasmes de mon mari. Soudain gênée par le silence qui s’installait entre nous, j’interrogeai Silvio sur ses projets d’étude – un sujet honnête et pas compromettant pour deux sous… Il ...
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