1. Le jour d'après...


    Datte: 16/10/2018, Catégories: fh, fplusag, hotel, amour, Oral pénétratio, confession,

    Résumé de l’épisode précédent : «Le chalet des écueils » Il y a quatre ans, Anne avait repoussé les avances de son amant pour conserver les privilèges financiers que lui octroyait son mariage. Quelques années plus tard, le 26 décembre 2015, le hasard les avait fait se retrouver. Ce soir-là, ils laissèrent cette attirance primitive s’exprimer jusqu’à tard dans la nuit. _______________________________________________ Dimanche 27 décembre 2015 Dans le grand lit, Patrick gisait nu sur le ventre. Le long de son corps lourd, Anne grimaça en défiant la lumière du jour. Ses cheveux hirsutes rappelaient que la nuit avait été longue et intense. Elle se retourna lentement vers l’homme qui avait mis fin à trente-cinq ans de fidélité. Anne se perdit dans ses pensées en réalisant la stature qui l’avait étreinte. Elle se souvint de cette bouche insatiable à l’assaut de ses mamelons, de ces baisers fougueux qui semblaient avaler toute son âme. Elle prit place sur le bord du lit et se dressa sur ses pieds nus. Ses jambes vacillèrent quelques secondes. Le chemin vers la salle de bains se montra plus rassurant. L’eau de la douche rebondissait sur son corps meurtri et elle ajusta l’intensité du jet pour prendre du plaisir. Elle étira ses cheveux en arrière et apprécia l’eau sur son visage… Anne se rappela cette pipe qu’elle avait offerte dans les toilettes… Que dire de sa pose ? Assise sur la lunette des w.c., Patrick lui avait mis la main dans sa culotte et elle avait adoré ! Au salon, la ...
    ... femme mariée apprécia un petit déjeuner. Cocoonée dans son peignoir, elle planait de rêverie en rêverie… Pour la première fois de la matinée, elle vit les rayons du soleil entrer dans le chalet. Anne se leva et resta quelques instants à frissonner sur les caresses de cet autre amant. Soudain, elle revint à la réalité en percevant un bruit là-haut dans la salle de bains. Anne détailla la silhouette de cet homme en train de descendre l’escalier. C’est lui qui l’avait étreinte une partie de la nuit. Patrick avait revêtu un drap de bain autour de la taille. — Bonjour !— Bonjour chéri ! Oh ! Non ! Je veux dire…— C’est irréel cette situation ! Ils s’embrassèrent et prirent place de chaque côté de la table. Anne se fit des souvenirs en le voyant manger là devant elle et rien que pour elle. En découvrant son torse nu, celui qu’elle avait embrassé cette nuit, elle ne put s’empêcher de laisser divaguer son esprit. — Que fait-on maintenant ?— Je ne veux pas te mettre dans l’embarras. Je pars dès que j’ai fini !— Je ne pensais pas à cela ! Comment s’organisent-t-ils, les amants ? Patrick poussa un rire. — Tu penses que je le sais ? Mercredi, je pars dans ma famille pour le réveillon et le lundi suivant, je passerai une semaine à Paris pour présenter mes travaux ! On pourrait utiliser cette superbe invention qu’est le téléphone portable ! Elle baissa les yeux et posa sa main sur la sienne… La maison fut bien vide après son départ. Elle passa la première heure à marcher dans le salon pour ...
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