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Le jour d'après...
Datte: 16/10/2018, Catégories: fh, fplusag, hotel, amour, Oral pénétratio, confession,
... Nostalgique, il détailla ce cou fragile qu’il avait autrefois baisé. — Il est joli ton chalet ! (Caustique) Travailles-tu à domicile ? Anne abattit sa main sur la mâchoire autoritaire. Bertrand fit un pas en arrière et leva les bras à mi-hauteur pour se protéger. — Désolé ! (il souffla.) Tu manques à nos soirées ! Même le jeunot, Quentin n’arrête pas de penser à toi !— J’ai arrêté ces soirées, Bertrand ! C’est fini !— Que t’arrive-t-il ? Tu aimes cela ! Tu aimes le sexe, alors reviens avec nous !— Non ! Ils sursautèrent et tournèrent le regard vers la cour où arrivait une autre voiture. Le visage d’Anne devint orageux et elle se précipita vers la fenêtre. — C’est Raymond ! Es-tu satisfait de ta démarche ? Bertrand baissa la tête et Anne marcha jusque dans la cuisine. La porte du salon s’ouvrit et le mari d’Anne s’immobilisa dans l’entrée. Son front se plissa et sa mâchoire se contracta… — Qu’est-ce que tu fais vers ma femme ? Bertrand fit deux pas vers Raymond. — J’ai fait un passage éclair pour lui demander de revenir aux soirées ! Raymond baissa les yeux. — Je ne l’empêche pas de vivre ses fantasmes, mais tu n’as rien à faire ici ! Raymond poussa énergiquement Bertrand qui chancela sur quelques pas. Anne sortit expressément de la cuisine et vint faire l’arbitre. — Arrêtez, tous les deux ! Cessez vos querelles ! Les deux hommes se défiaient du regard. — Chérie ! Je n’aime pas le voir traîner ici ! On avait défini des règles ! Bertrand agita la tête et écarta les bras. — Ta ...
... femme nous manque, Raymond ! Raymond cracha sur Bertrand qui se rua sur lui pour l’empoigner. Anne claqua des mains et hurla : — Tous les deux, vous allez dégager de chez moi ! Immédiatement ! Les deux hommes tournèrent la tête vers elle et ils détaillèrent l’origine de leurs maux. Anne ne bougeait pas. Fragile, sexy, malgré l’adversité, elle ne trouva pas de mot pour les dissuader de détailler ses cuisses et sa fragile poitrine. Anne fit un pas en arrière et se crispa. Elle comprit qu’ils étaient à crans. Si la folie prenait l’un d’eux, l’autre ne pourrait que suivre et elle n’arriverait pas à les repousser ! — Sortez ! Tous les deux ! Raymond inspira difficilement : — Bertrand ! Anne a un amant ! Un gratte-papier ! C’est pour cette raison qu’elle ne viendra plus à vos soirées.— C’est quoi ces conneries ? (Il se tourna vers la femme de Raymond.) Ne fout pas tout en l’air, nous avons besoin de toi ! Anne désigna la porte. — Dehors ! Bertrand capitula et s’en alla… — Tu es… amoureuse de ce bohémien ?— Il est écrivain !— C’est la même chose ! Raymond fixa ce doigt qu’elle n’avait pas déchu. Il prit la suite de Bertrand et ferma brutalement la porte du chalet. Pendant cinq minutes, Anne resta debout au centre de la pièce. Que venait-il de se passer ? Une soudaine fatigue pesa sur ses épaules et elle se dirigea vers le canapé. Elle prit place et replia ses jambes sur l’assise. Ses émotions étaient confuses… Croyez-vous cela possible ? Quatre hommes dans son giron ! Cela n’était ...