1. Une amie de ma mère


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Première fois Anal

    Helena, une amie de ma mère, m’avait proposé de m’emmener avec elle pour un voyage d’affaires de quelques jours à Moscou. J’avais envie de voyager, et c’était la première fois que je quittais la France. La belle Helena me paraissait plus qu’attirante en dépit de son passé trouble. Ou plutôt, à cause précisément de son passé trouble, elle me fascinait au point que je ne pensais qu’à elle. Veuve quadragénaire, elle menait une existence libre - certaines mauvaises langues disaient : frivole - en compagnie de nombreux amants qui étaient tous jeunes et beaux. Son mari, un milliardaire russe qui avait fait fortune dans le commerce d’armements, était décédé dans des circonstances suspectes : un accident de voiture causé par une étonnante défaillance de freins, jamais élucidé ; la police avait fini par abandonner l’enquête, faute d’éléments concluants.Helena vivait dans le midi de la France, dans un immense château isolé au milieu de la garrigue qu’elle avait acheté avec l’argent de son héritage, le faisant aménager à son goût, avec des œuvres d’art qui lui permettaient de ressembler à un musée. Mis à part ses coûteuses acquisitions, son existence était la plupart du temps oisive, entourée de beaux éphèbes à peine sortis du cocon familial, qu’elle choisissait pour leur corps graciles et musclés en même temps, toujours puceaux, toujours innocents, du moins avant de les rencontrer. Au sujet des sévices qu’elle faisait subir à ses amants, les pires bruits couraient à son égard ; je ...
    ... les considérais comme des ragots sans fondement. Selon les moments, son regard prenait tour à tour la douceur d’une biche, la froideur d’un serpent et la cruauté d’une chatte. En un mot, elle était troublante, et j’étais troublé pour l’avoir rencontrée au cours d’un repas familial où ma mère l’avait invitée. A table, elle était assise juste en face de moi, et semblait me dévorait avec autant d’appétit que son gigot d’agneau. Elle me bousculait dans l’innocence juvénile de mes 18 ans.– Méfie-toi d’elle, m’a prévenu ma mère assise à côté de moi, en chuchotant à mon oreille. C’est une mangeuse d’hommes, et tu as tout-à-fait le style qu’elle préfère.Mais Helena me parlait de peinture russe, de sculpture, de musique romantique, et j’étais captivé par sa voix aux accents de son pays natal. L’étendue de sa culture qui me sidérait. Elle était rousse comme un incendie de la taïga, comme ses lèvres qui promettaient d’éblouissants baisers. Elle tissait sa longue chevelure en nattes, comme une petite fille. Lorsque nous nous sommes quittés ce jour-là, elle m’a embrassé sur les joues très près des lèvres, d’une manière équivoque.Je ne regardais déjà plus ma cousine Annie, celle que j’avais supplié l’année précédente de me donner son pucelage, jusqu’à me déshabiller complètement devant elle, me mettre à genoux et lui bécoter les orteils en pleurant : elle avait refusé la pénétration, mais avait consenti, devant mon insistance et aussi parce que je lui avais offert des fleurs, à ce que nous ...
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