1. Une amie de ma mère


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Première fois Anal

    ... de me retrouver dans la chambre d’hôtel, le soir venu.Quand je suis rentré, à la tombée de la nuit, elle était déjà là, assise dans un fauteuil, face au grand miroir, et rajustait son maquillage.– Approche, a-t-elle dit. J’ai mal au dos, après cette journée épuisante à marchander des tableaux. Les marchands d’art sont décidément des rapaces. Voudrais-tu me masser les épaules, mon chéri ?C’était la première fois que quelqu’un m’appelait « mon chéri », comme une vieille épouse parle à son mari après vingt ans de fidélité. Le haut de son corsage était déboutonné, ce qui m’a permis d’oindre la base de son cou, autour des vertèbres cervicales, avec une huile d’argan parfumée dont elle venait de faire l’acquisition. J’étais maladroit, et elle a dû me reprendre plusieurs fois avant que je trouve le geste adéquat. Puis elle a complètement retiré le vêtement qui recouvrait son buste et m’a demandé de lui masser le dos, le long de la colonne vertébrale.Toujours assise, elle se penchait en avant afin de se rendre accessible à mes mains inexpérimentées. J’ai eu besoin de dégrafer son soutien-gorge, et éprouvé quelques difficultés pour cela ; il y avait deux crochets à défaire, et je n’avais pas l’habitude de ces subtilités vestimentaires typiquement féminines. J’ai frotté sa peau du bout des doigts, le long des vertèbres, en griffant légèrement. Elle s’est mise à ronronner comme une chatte heureuse, s’est cambrée, et je me suis demandé si elle n’allait pas jouir de cette manière, sans ...
    ... que je touche à son sexe. Je voyais ses seins à travers le miroir. Elle se les caressait elle-même, et m’a demandé :– Tu les aimes ? Je les ai fait refaire l’année dernière chez le docteur Schmurtz, un artiste du bistouri. Ils étaient trop gros : je trouvais cela vulgaire !– Ils sont parfaits, ai-je dit en les pelotant à mon tour, et en pinçant les tétons et en comprenant mal son besoin de se faire charcuter pour ce motif, dans la mesure où je n’avais absolument rien contre les seins de grande taille, à l’instar de ceux de ma mère.– Attention, tu me fais mal ! Fais doucement, je te prie. Je suis une dame, pas un partenaire de lutte.Je l’ai lâchée, tout déconfit de ma maladresse.– Mais tu peux quand même me caresser, tu sais. Et toi ? Montre-moi ton corps, j’ai envie de le découvrir.J’ai retiré mon pull et ma chemise, afin de me montrer torse nu. Elle a retourné son fauteuil qui pouvait pivoter sans qu’elle eût besoin sans se lever, et a considéré mon torse en bout de ses ongles longs, vernis d’écarlate, jusqu’à me griffer de longs sillons rosés des tétons au nombril. Elle semblait apprécier l’épilation que je m’étais octroyée chez l’esthéticienne que maman m’avait conseillée, juste avant de partir, ainsi que ma fine musculature d’éphèbe à peine sorti de mes jeux d’enfant pour découvrir ceux, autrement plus excitants, que propose la gent féminine.– Je te fais mal, m’a-t-elle demandé ?– Non.– Tu es un beau garçon, tu sais.– Merci.Elle a collé son nez contre l’entrejambe de mon ...
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